ÉpĂ©es cĂ©lĂšbres et rĂ©elles de l'histoire

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ÉpĂ©es cĂ©lĂšbres et rĂ©elles de l'histoire
Source: listas.20minutos.es
L'épée est l'arme par défaut, le symbole de l'histoire, des guerres, des monarques, du courage. Ensuite, une vaste collection d'armes parmi les plus célÚbres au monde, des armes qui existaient et qui, heureusement, existent encore, déjà que ce soit dans des musées, dans des collections privées ou volés dans des endroits inconnus.

TOP 20:
L'épée à sept fourchettes
L'épée à sept fourchettes
La dynastie Baekje Ă©tait un ancien royaume situĂ© au sud-ouest de la CorĂ©e. À son apogĂ©e au quatriĂšme siĂšcle, Baekje contrĂŽlait une partie de la Chine et la majeure partie de l'ouest de la pĂ©ninsule corĂ©enne. Ils Ă©taient l'un des trois royaumes de la CorĂ©e, avec Goguryeo et Silla. En 372, le roi Geunchogo de Baekje rend hommage Ă  Jin del Este et commande la crĂ©ation d'une Ă©pĂ©e Ă  sept bras et le livre au nouveau roi en guise de louange. L’arme est une Ă©pĂ©e de fer de 74,9 cm de long avec six protubĂ©rances en forme de branche le long de la lame centrale, soit 65,5 cm. L'Ă©pĂ©e a Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©e pour des buts cĂ©rĂ©moniels et n'a pas Ă©tĂ© construite pour la bataille. Il est situĂ© dans le sanctuaire Isonokami dans la prĂ©fecture de Nara (Japon) et n'est pas exposĂ© au public.

TOP 19:
ÉpĂ©e d'offrande ornĂ©e de bijoux
ÉpĂ©e d'offrande ornĂ©e de bijoux
Fait pour le couronnement de George IV. Il contient les emblĂšmes vĂ©gĂ©taux des territoires qui composent le Royaume-Uni. À l’heure actuelle, c’est la seule Ă©pĂ©e utilisĂ©e par les monarques lors de leur couronnement. Les autres sont exposĂ©s devant eux lors de la cĂ©rĂ©monie.


TOP 18:
ÉpĂ©e de misĂ©ricorde
ÉpĂ©e de misĂ©ricorde
L'EpĂ©e de MisĂ©ricorde appartenait Ă  Edouard le Confesseur; qui fut l'un des derniers rois anglo-saxons d'Angleterre avant la conquĂȘte normande de 1066. Il rĂ©gna de 1042 Ă  1066 et son rĂšgne est caractĂ©risĂ© par la dĂ©sorganisation et l'effondrement du pouvoir royal en Angleterre. Peu de temps aprĂšs la mort d'Edward le Confesseur, les Normands commencĂšrent Ă  se dĂ©velopper en Angleterre, sous la direction du cĂ©lĂšbre Guillaume le ConquĂ©rant. En 1236, l'Ă©pĂ©e reçut le nom de Curtana et est depuis utilisĂ©e pour les cĂ©rĂ©monies royales. Dans les temps anciens, c'Ă©tait un privilĂšge d'avoir cette Ă©pĂ©e devant le roi. C'Ă©tait considĂ©rĂ© comme un geste misĂ©ricordieux. L'histoire entourant la rupture de l'arme est inconnue, mais l'histoire mythologique indique que la pointe a Ă©tĂ© cassĂ©e par un ange pour Ă©viter un meurtre injuste. L'Ă©pĂ©e de la misĂ©ricorde fait partie des joyaux de la couronne du Royaume-Uni et est l'une des cinq Ă©pĂ©es utilisĂ©es lors du couronnement d'un monarque britannique. L'arme a le privilĂšge en plus de survivre au rĂšgne d'Oliver Cromwell. On sait que Cromwell a ordonnĂ© de fondre tous les objets en or et les reliques de la maison royale.

TOP 17:
Lobera
Lobera
Lobera Ă©tait l'Ă©pĂ©e du roi Ferdinand III Saint, conservĂ©e aujourd'hui en relique dans la cathĂ©drale de SĂ©ville. Chaque annĂ©e, elle est dĂ©filĂ©e en procession pour commĂ©morer la reconquĂȘte de SĂ©ville en 1248 par ce roi. C'Ă©tait le symbole du pouvoir de Ferdinand III, il apparaĂźtra donc dans de nombreuses gravures, l'Ă©pĂ©e et l'orbe Ă  la main, au lieu du sceptre traditionnel. C'est une Ă©pĂ©e Ă  lame plate Ă  deux tranchants, mesurant 0,854 m de long et 0,053 m pour la partie la plus large, dĂ©croissante, presque insensiblement, jusqu'Ă  se terminer par une pointe arrondie.

TOP 16:
ÉpĂ©e Boabdil
ÉpĂ©e Boabdil
L'Ă©pĂ©e de Boabdil Ă©tait l'Ă©pĂ©e d'AbĆ« Abd Abd Allah Muhammad n. ÊżAlÄ«, qui fut le dernier roi de Grenade, est connu sous le nom de Muammad XI, membre de la dynastie des Nasrides, appelĂ© par les chrĂ©tiens Boabdil ou Boabdil el Chico et connu populairement Ă  son Ă©poque sous le surnom de "The Wretched". C'est une Ă©pĂ©e de jineta, une sorte d'Ă©pĂ©e de production vĂ©ritablement nasride, introduite dans la pĂ©ninsule "musulmane" par la tribu berbĂšre des ZĂ©nĂštes. Elle correspondait Ă  un type d'Ă©pĂ©es droites Ă  double tranchant avec un demi-canal, une poignĂ©e osseuse et un bouton rond, avec une main, et dont les coins arrondis tombaient vers la lame en laissant un minimum d'espace entre eux. Mais il ne fait aucun doute que sa caractĂ©ristique la plus importante est le travail remarquable et les qualitĂ©s des matĂ©riaux avec lesquels les poignĂ©es ont Ă©tĂ© fabriquĂ©es.


TOP 15:

L'épée du Pérou

L'épée du Pérou
FabriquĂ© Ă  Lima en 1825 et offert par la municipalitĂ© de cette commune Ă  SimĂłn BolĂ­var en 1825, en guise de cadeau pour les combats de JunĂ­n et d'Ayacucho, qui ont consolidĂ© l'indĂ©pendance du pays et de l'AmĂ©rique. C’est la mĂ©moire historique des guerres d’indĂ©pendance les plus remarquables d’AmĂ©rique du Sud, pour sa grande valeur en tant que joyau artistique et historique. L'ensemble de son fourreau est en or massif de 18 carats, dans lequel se dĂ©tachent des ornements de pierres prĂ©cieuses ainsi que des dessins Ă©lĂ©gants et variĂ©s, parmi lesquels le blason du PĂ©rou, le buste du gĂ©nie de la libertĂ© et deux pyramides tronquĂ©es, entre d'autres

TOP 14:

Gou Jian épée

Gou Jian épée
Un artefact historique: dans les années 1960, cette épée du roi de Yue a été découverte dans une tombe du royaume de Chu qui, aprÚs plus de 2 500 ans sous terre, conserve toujours sa lueur et son tranchant.

TOP 13:

L'épée du serpent

L'épée du serpent
Il était géré par le grand roi Ashoka (empereur des Indes qui mena l'empire de Maurya à travers le sous-continent indien, entre 273 et 232 avant JC).


TOP 12:

Joyeux

Joyeux
Aussi connu sous le nom de Joyeuse, l'Ă©pĂ©e de Carlomango. Il vivait autour de 742. Il est l'un des plus grands dirigeants de l'histoire du monde et est devenu roi des Francs en 768. En 800, il a Ă©tĂ© nommĂ© empereur des Romains, poste qu'il a occupĂ© pour le reste. de ta vie Dans le Saint Empire Romain, il Ă©tait connu sous le nom de Charles Ier et fut le premier empereur du Saint Empire. Au cours de sa vie, il Ă©tendit les frontiĂšres de son royaume, qui couvrait une grande partie de l'Europe occidentale et centrale. Il est considĂ©rĂ© comme le pĂšre fondateur des monarchies française et allemande, ainsi que le pĂšre de l'Europe. Actuellement, deux Ă©pĂ©es sont attribuĂ©es Ă  sa personne. Il s’agit d’un sabre tenu au Schatzkammer Weltliche Ă  Vienne, l’autre au Louvre en France. Celui exposĂ© au Louvre prĂ©tend ĂȘtre partiellement construit Ă  partir de l'Ă©pĂ©e d'origine. L'Ă©pĂ©e est composĂ©e de piĂšces de diffĂ©rents siĂšcles et peut donc ĂȘtre difficile Ă  identifier. Cette Ă©pĂ©e apparaĂźt dans de nombreuses lĂ©gendes et documents historiques. Bulfinch a dĂ©crit Charlemagne avec Joyeuse dĂ©capitant Corsuble, un commandant des Sarrasins, ainsi que Knight Ogier, le Danois. AprĂšs la mort de Charlemagne, l'Ă©pĂ©e aurait Ă©tĂ© tenue par la basilique Saint-Denis et aurait ensuite Ă©tĂ© emmenĂ©e au Louvre.

TOP 11:

L'épée de Napoléon

L'épée de Napoléon
En 1799, NapolĂ©on Bonaparte devient le chef militaire et politique de la France. Cinq ans plus tard, le SĂ©nat français le proclama empereur. La dĂ©cision d'envahir la Russie marque le tournant de la fortune de NapolĂ©on. En 1814, la SixiĂšme Coalition envahit la France et NapolĂ©on fut capturĂ© et exilĂ© sur l'Ăźle d'Elbe. Il est finalement mort sur l'Ăźle de Santa Elena. NapolĂ©on est considĂ©rĂ© comme un gĂ©nie militaire. Sur le champ de bataille de NapolĂ©on, il portait un fusil et une Ă©pĂ©e. Il avait une grande collection d'armes. À l'Ă©tĂ© 2007, une Ă©pĂ©e incrustĂ©e d'or appartenant Ă  NapolĂ©on a Ă©tĂ© vendue aux enchĂšres en France pour plus de 6,4 millions de dollars. Au dĂ©but des annĂ©es 1800, NapolĂ©on l’offrit Ă  son frĂšre comme cadeau de mariage. L'Ă©pĂ©e a Ă©tĂ© transmise de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration, sans quitter la famille Bonaparte. En 1978, le sabre a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ© trĂ©sor national en France et le vainqueur de la vente aux enchĂšres n'a pas Ă©tĂ© identifiĂ©.

TOP 10:

Zulfiqar

Zulfiqar
Zulfiqar est l'ancienne Ă©pĂ©e du leader islamique Ali. Celui-ci Ă©tait familier au prophĂšte Mahomet. Il a gouvernĂ© pendant le califat islamique de 656 Ă  661. Selon certains tĂ©moignages historiques, Muhammad a donnĂ© Zulfiqar Ă  Ali lors de la bataille de Uhud. L'Ă©pĂ©e est un symbole de la foi islamique et est admirĂ©e par des millions de personnes. Le cimeterre Zulfiqar fait partie de la cĂ©lĂšbre collection appelĂ©e al-Jafr. Al-Jafr est un hĂ©ritage sacrĂ© chiite. Il se compose de deux peintures contenant les artefacts les plus importants de l'Ă©poque de Mahomet et Ali. La collection a Ă©tĂ© transmise de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration, avec chaque nouvel aimant qui la reçoit Ă  la mort de son prĂ©dĂ©cesseur. Le contenu d’Al-Jafr est assez impressionnant, mais il n’est pas accessible au public. Une section du livre dĂ©crit les normes islamiques et les problĂšmes liĂ©s aux guerres, notamment un sac contenant l'armure et les armes de Mahomet. On dit que Zulfiqar fait partie de ces artefacts.


TOP 9:

Le sabre de San MartĂ­n

Le sabre de San MartĂ­n
JosĂ© de San MartĂ­n Ă©tait un cĂ©lĂšbre gĂ©nĂ©ral argentin qui a vĂ©cu de 1778 Ă  1850. Il Ă©tait le principal dirigeant du sud de l'AmĂ©rique du Sud pour la lutte de son indĂ©pendance vis-Ă -vis de l'Espagne. San MartĂ­n est un hĂ©ros d'AmĂ©rique du Sud et le protecteur du PĂ©rou, qui s'est dĂ©clarĂ© officiellement indĂ©pendant le 28 juillet 1821. Dans l'État argentin, l'Ordre du LibĂ©rateur gĂ©nĂ©ral San MartĂ­n est la plus haute dĂ©coration du monde. Les biens les plus prĂ©cieux de JosĂ© de San MartĂ­n Ă©taient un sabre qu'il avait achetĂ© Ă  Londres, admirant sa lame incurvĂ©e. Il estimait que cette arme Ă©tait facile Ă  manipuler et idĂ©ale pour la bataille. Saint Martin, dans son testament, qualifie l'Ă©pĂ©e de "sabre qui m'a accompagnĂ© tout au long de la guerre d'indĂ©pendance de l'AmĂ©rique du Sud". En 1896, l'arme fut envoyĂ©e au MusĂ©e national d'histoire de Buenos Aires, oĂč elle se trouve encore aujourd'hui. Dans les annĂ©es 1960, il y eut deux tentatives pour le voler, heureusement, sans succĂšs.

TOP 8:

ÉpĂ©e de Tomoyuki Yamashita

ÉpĂ©e de Tomoyuki Yamashita
Tomoyuki Yamashita Ă©tait un gĂ©nĂ©ral de l'armĂ©e impĂ©riale japonaise pendant la Seconde Guerre mondiale. Il a Ă©tĂ© connu pendant la guerre aprĂšs la conquĂȘte des colonies britanniques de Malaisie et de Singapour, ce qui lui a valu le surnom de "Tigre de Malaisie". AprĂšs la Seconde Guerre mondiale, Yamashita a Ă©tĂ© jugĂ© pour crimes de guerre liĂ©s au massacre de Manille et Ă  de nombreuses autres atrocitĂ©s aux Philippines et Ă  Singapour. Ce procĂšs controversĂ© s'est terminĂ© par une condamnation Ă  mort de Tomoyuki Yamashita. L'affaire a modifiĂ© les rĂšgles des États-Unis en ce qui concerne la responsabilitĂ© du commandement pour les crimes de guerre, mettant en Ɠuvre la crĂ©ation d'une loi connue sous le nom de norme Yamashita. Au cours de sa carriĂšre militaire, Tomoyuki Yamashita a fabriquĂ© une Ă©pĂ©e du cĂ©lĂšbre fabricant de Kanenaga Fujiwara entre 1640 et 1680. L'Ă©pĂ©e de samouraĂŻ a Ă©tĂ© remise par le gĂ©nĂ©ral Yamashita et son armĂ©e le 2 septembre 1945. Elle a Ă©tĂ© prise par le gĂ©nĂ©ral MacArthur et dĂ©posĂ© dans le musĂ©e militaire de West Point oĂč il reste jusqu'Ă  aujourd'hui.

TOP 7:

Falcata pré-ibérique

Falcata pré-ibérique
C'Ă©tait l'Ă©pĂ©e des premiers colons de la pĂ©ninsule ibĂ©rique, avec laquelle ils ont combattu les batailles de l'Ă©poque. Sa conception originale de la lame, conçue pour pĂ©nĂ©trer horizontalement, n’a pas Ă©tĂ© rĂ©pĂ©tĂ©e dans l’histoire, mais a une fonctionnalitĂ© incontestable et la rend unique.

TOP 6:

ÉpĂ©e romaine (Gladius Romana)

ÉpĂ©e romaine (Gladius Romana)
C’est l’arme romaine par excellence, c’était une Ă©pĂ©e idĂ©ale pour le combat rapprochĂ© et un complĂ©ment idĂ©al pour les phalanges des doigts. ÉpĂ©e courte, large et pointue conçue pour la rapiĂšre directe, causant de gros dĂ©gĂąts. Le bouclier romain complĂ©tait l'efficacitĂ© du gladius romain.


TOP 5:

ÉpĂ©e de Carlos I d'Espagne et V d'Allemagne

ÉpĂ©e de Carlos I d'Espagne et V d'Allemagne
À l'Ă©poque, il Ă©tait surnommĂ© "l'Empereur", aucun roi n'ayant jamais rĂ©ussi Ă  rassembler sous son mandat un empire aussi immense. Il a hĂ©ritĂ© de ses grands-parents, les rois catholiques, l'Espagne, l'AmĂ©rique, Naples et la Sicile; et de Maximilian d'Autriche, de Flandre et d'Autriche. En 1519, il fut couronnĂ© "empereur romain" et gouverna le plus grand royaume depuis Charlemagne. Son Ă©pĂ©e est le symbole de sa force.

TOP 4:

ÉpĂ©e de W. Wallace

ÉpĂ©e de W. Wallace
W. Wallace est connu pour avoir dirigĂ© la rĂ©sistance contre l'Angleterre pendant les guerres d'indĂ©pendance Ă©cossaises, qui ont eu lieu Ă  la fin du XIIIe siĂšcle et au dĂ©but du XIVe siĂšcle, alors qu'il Ă©tait nommĂ© gardien de l'Écosse. En 1305, il fut capturĂ© par le roi Édouard Ier d’Angleterre et exĂ©cutĂ© pour trahison. On se souvient aujourd'hui de William Wallace en tant que patriote et hĂ©ros national en Écosse. Son Ă©pĂ©e est l'une des plus cĂ©lĂšbres au monde. L'Ă©pĂ©e de William Wallace est situĂ©e au Monument national Ă  Stirling, en Écosse. L'axe de l'Ă©pĂ©e mesure 132 cm et pĂšse 2,7 kg. L'Ă©pĂ©e serait portĂ©e par Wallace lors de la bataille du pont de Stirling en 1297 et de la bataille de Falkirk (1298). On pense que l'Ă©pĂ©e a Ă©tĂ© modifiĂ©e Ă  plusieurs reprises, en particulier les parties du manche et la gaine, qui aurait Ă©tĂ© faite de la peau de Hugh Cressingham, un commandant anglais. AprĂšs l'exĂ©cution de William Wallace, Sir John de Menteith, gouverneur du chĂąteau de Dumbarton, reçut l'Ă©pĂ©e. En 1505, le roi Jacques IV d’Ecosse paya la somme de 26 shillings pour rĂ©cupĂ©rer l’épĂ©e du hĂ©ros national.

TOP 3:

Colada ÉpĂ©e du Cid

Colada ÉpĂ©e du Cid
La Colada est l'une des deux Ă©pĂ©es, Ă  cĂŽtĂ© du Tizona, que la tradition lĂ©gendaire attribue Ă  Cid. Selon SebastiĂĄn de Covarrubias, Colada serait une Ă©pĂ©e en acier moulĂ©, bien que le sens que l’acier moulĂ© puisse avoir pour Covarrubias et son application Ă  la technologie du Moyen Âge ne soient pas clairs.

TOP 2:

Honjo Masamune

Honjo Masamune
Masamune Ă©tait un forgeron d'escrime japonais considĂ©rĂ© dans le monde entier comme l'un des plus grands mĂ©tallurgistes du monde. Les dates exactes dans lesquelles Masamune a vĂ©cu sont inconnues, mais on pense qu'il a travaillĂ© de 1288 Ă  1328. Les piĂšces fabriquĂ©es par Masamune ont atteint le statut de lĂ©gende pour leur beautĂ© et leur qualitĂ©. Il a rarement signĂ© ses piĂšces, il est donc difficile d'identifier son Ă©pĂ©e. La plus cĂ©lĂšbre de toutes les Ă©pĂ©es Masamune s'appelle Honjo Masamune. Honjo Masamune reprĂ©sente le shogunat durant la pĂ©riode Edo au Japon. L'Ă©pĂ©e est transmise d'un Shogun Ă  un autre pendant des gĂ©nĂ©rations. En 1939, l'arme a Ă©tĂ© dĂ©signĂ©e comme un trĂ©sor national au Japon, mais elle Ă©tait dĂ©tenue par la famille Tokugawa. Le dernier propriĂ©taire connu de Honjo Masamune Ă©tait Tokugawa Iemasa. Apparemment, Tokugawa Iemasa a remis l'arme et 14 autres Ă©pĂ©es Ă  un commissariat de police de Mejiro, au Japon, en dĂ©cembre 1945. Peu de temps aprĂšs, en janvier 1946, la police donna Ă  Mejiro le sabre du sergent. Coldy Bimore (7Ăšme cavalerie amĂ©ricaine). Depuis lors, Honjo Masamune a disparu et le sort de l'Ă©pĂ©e reste un mystĂšre. Honjo Masamune est l’un des objets historiques les plus importants Ă  disparaĂźtre Ă  la fin de la Seconde Guerre mondiale.

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Tizona

Tizona
El Cid est nĂ© en 1040 Ă  Vivar, une petite ville situĂ©e Ă  environ six kilomĂštres au nord de Burgos, la capitale de la Castille. Le royaume de Castille Ă©tait l'un des empires mĂ©diĂ©vaux de la pĂ©ninsule ibĂ©rique. Au cours de sa vie d'El Cid, il devint un leader du succĂšs militaire et un diplomate. Il fut nommĂ© chef gĂ©nĂ©ral de l'armĂ©e d'Alphonse VI et devint un hĂ©ros espagnol. On dit que Del Cid utilise beaucoup d'Ă©pĂ©es diffĂ©rentes dans sa vie, mais les deux plus cĂ©lĂšbres sont Colada et Tizona. L’arme est l’une des plus prĂ©cieuses reliques d’Espagne et aurait Ă©tĂ© forgĂ©e Ă  Cordoue, en dĂ©pit des traces considĂ©rables d’acier de Damas, principalement utilisĂ© au Moyen-Orient. Il mesure 103 cm de long et pĂšse 2,4 kg. Il contient deux inscriptions, une date de fabrication de 1002 et une autre citant l’Ave Maria. Il est actuellement exposĂ© au musĂ©e de Burgos.