Les armes mythiques et fantastiques les plus célèbres

l'épée vorpale ou lame vorpale est un objet du roman Through the Looking Glass et de ce qu'Alice a trouvé là-bas. Il apparaît dans le poème Jabberwocky.

Mistilteinn, également connue sous le nom de Misteltein ou Mystletainn, est une épée mythique en gui que Hrómundr Gripsson utilise dans la saga Hrómundar Gripssonar, une saga légendaire de l’Islande. Mistilteinn appartenait en premier lieu à Þráinn, ancien roi des draugr (morts-vivants), roi sorcier. Innráinn avait tué 420 hommes, dont le roi suédois Semingr, avec son épée enchantée. Hrómund se bat avec ráinn et triomphe, se brûle et reste à Mistilteinn.

Dáinsleif ("l'héritage de Dáinn") est l'épée du roi Högni, d'après ce que Snorri Sturluson raconte à propos de la bataille connue sous le nom de Hjaðningavíg. Quand Heðinn lui offre une compensation en or pour avoir kidnappé sa fille, Högni répond: Tu as fait cette offre trop tard, si tu voulais la paix: maintenant, j'ai dégainé Dáinsleif, qui a fait les nains, et qui devrait causer la mort d'un homme tous les jours. Une fois que sa lame nue reste, il n'échoue jamais dans son coup; De plus, les blessures qu'il cause ne guérissent jamais. Skáldskaparmál, chapitre 50, Prose Edda.

C'est une arme brute, sans aucun raffinement, caractéristique générale des armes et des outils fabriqués par les orcs, bien que, comme indiqué dans The Hobbit 1, soit utile et efficace. Ce n'était pas une arme à utiliser de la main droite, c'était une arme à utiliser avec la terrible force des Uruk-hai, qui pouvaient fendre un crâne ou, à son extrémité, percer l'armure de leurs ennemis. Une fois "accrochés" à cette astuce, ils pourraient l'attirer pour l'achever. JRR Tolkien fait référence à l'uruk-hai dans l'ensemble de son œuvre Le Seigneur des anneaux, en particulier dans Les Deux Tours 2, mais ne mentionne pas spécialement cette arme, qui est davantage une adaptation de Weta Workshop pour les films de la trilogie Toujours en suivant cette version du film, ainsi que le travail effectué à cet effet par Weta Workshop et les différents illustrateurs embauchés pour cela, cette arme apparaît continuellement dans les troupes formées par les uruks. Sa forge est fabriquée dans les cavernes Isengard, où elle est vue pour la première fois, des mains de forgerons orcs sous les ordres de saruman. Ces orcs ou gobelins n'ont jamais porté cette épée, elle était trop lourde pour eux. Les représentations de cette épée se trouvent dans les mains des uruk-hai dans les esquisses et les conceptions conceptuelles d’Alan Lee dans Le carnet de croquis du Seigneur des anneaux, qui illustre le combat d’Aragorn contre une multitude de uruks à Amon Hen. Des représentations de cette épée apparaissent également dans des esquisses de Christian Rivers et de Warren Mahy pour Le Seigneur des anneaux: l'art de la communauté de l'anneau.

Tolkien décrit Grond comme un énorme bélier long de cent pieds qui se balançait au-dessus de puissantes chaînes et surmonté d'une tête de loup enragée forgée en acier noir. Il y avait aussi une couverture ignifuge. Tolkien possédait les forces du mal appelant ce bélier en l'honneur de l'arme de Morgoth.1 L'armée au service de Sauron a fait usage de Grond le 15 mars 3019 TE2 lors du siège de Minas Tirith contre les portes de la ville, pendant la bataille des champs de Pelennor qui s'est déroulée à la fin de la guerre de l'anneau. Le roman décrit comment Grond a été entraîné par de "grandes bêtes" (probablement par des olfacteurs, car, bien que cela ne soit pas dit expressément, elles sont mentionnées quelques lignes auparavant); gardé par des orcs et conduit par des trolls des montagnes. Avec l'aide d'un sort du Roi Sorcier d'Angmar et des sorts utilisés pour le forger en Mordor, Grond détruisit les formidables portes de Minas Tirith en seulement trois attaques. Au troisième coup, les portes volèrent dans les airs au milieu d'un éclair magique et tombèrent brisées en mille morceaux.

Dans la mythologie nordique, le Megingjǫrð fem. (pl. megingjarðar. Dans le vieux norrois "ceinture de force; 1 megingjörð islandais moderne, pl. megingjarðir) est la ceinture portée par le dieu Thor. Ce mot n’est documenté que dans le Snorri Edda, dans lequel il est toujours utilisé au pluriel (megingjarðar) et dans le Rauðúlfs þáttr, dans lequel, cependant, ce n'est pas un attribut de Tor mais une image du Christ crucifié, selon la prose Edda la ceinture, qui lui a donné deux fois la force quand il le portait , est l’une des trois principales possessions du dieu, avec le marteau Mjolnir et le Járngreipr fem. sans ses trois attributs, Loki l'a convaincu de le faire en remplissant ainsi la condition que Geirrøðr lui avait imposée pour le relâcher.En chemin vers le Geirrøðargarðar, Tor passe la nuit avec le gýgr Gríðr et, le lendemain matin, cela donne comme preuve de remerciement (le verbe utilisé par Snorri est ljá 'prête') à Dieu ses propres gants de fer, sa propre ceinture de force ainsi que la canne appelée Gríðarvǫlr ou la canne de Gríðr pour que Je peux battre le géant avec eux.

Dans la mythologie nordique, le Járngreipr fem. pl. (en vieux norrois "pinces de fer"; islandais moderne: járngreipar fem. pl.) ou Járnglófar masc. pl. ("gantelets de fer") sont les gants de fer du dieu Thor. Selon le Snorri Edda, avec le marteau Mjǫllnir et la ceinture de Megingjǫrð, les Járngreipr sont l'un des biens les plus importants de Thor. Selon le chapitre 20 du livre de Gylfaginning, Thor utilisait ces gants pour manipuler son puissant marteau. La raison de son existence vient de la légende. Lorsque le nain qui travaillait à la forge, un mouche lui a mordu l'œil (probablement le dieu Loki déguisé), ce qui a eu pour effet de raccourcir le manche.

Le poignard Morgul est le nom qui reçoit une arme fictive du légendaire écrivain britannique JRR Tolkien. Cette feuille magiquement empoisonnée était généralement portée par le Roi Sorcier d’Angmar et le reste du Nazgul, c’était aussi lui qui avait poignardé Frodon au sommet des vents. Cette arme avait une lame fragile qui était détruite après usage et laissait des éclats dans la chair de la victime, de manière à faciliter la propagation dans son corps d'une malédiction qui finit par devenir un spectre similaire à celui-ci, mais plus faible et manipulable. Pendant le voyage des Hobbits et d'Aragorn, Frodon fut poignardé par cette lame et un morceau de l'arme resta à l'intérieur de la plaie, traversant la chair. Les soins d'Aragorn et les Athelas fournis par lui n'étaient pas suffisants pour vaincre l'infection et il était nécessaire de prendre des médicaments elfiques fournis par Elrond à Rivendel. Celui-ci avait extrait l'éclat et sauvé Frodo, après dix-sept jours d'agonie. Chaque anniversaire de la blessure, Frodo tombait malade et seul le voyage à Valinor le guérirait complètement. On sait que sa résistance était exceptionnelle et que s’il blessait un homme fort et en bonne santé, il ne durerait pas plus de quelques heures avant de mourir. Une autre victime des feuilles de Morgul était Boromir, le onzième sénateur du Gondor. Il est finalement mort, mais n'est pas devenu un spectre de l'anneau, à cause de la mort des blessures avant que l'effet de l'arme soit accompli.

Hrotti était une épée mythique dans les légendes de Volsung (Fáfnismál, saga Völsunga); Il appartenait au trésor de Fáfnir, que Sigurðr s'était approprié après avoir tué un dragon.

Grond est le nom que JRR Tolkien a donné à la masse de Morgoth dans son roman The Silmarillion. Le nom "Grond" signifie uniquement "masse" ou "club" .1 Grond signifie "terre" en afrikaans, ce qui, de par l'origine sud-africaine de Tolkien, peut également expliquer ce nom. Morgoth Bauglír a utilisé Grond dans son combat contre Fingolfin au premier âge du soleil.Tolkien a écrit que Melkor avait abattu Grond avec l’élan de la foudre. Fingolfin a esquivé tous ces coups, mais ils ont ouvert de profonds cratères dans la terre. Finalement, Fingolfin est tombé sur l'un d'eux, épuisé, au moment même où Morgoth a profité pour mettre fin à ses jours. Grond reçoit le surnom "Marteau des mondes souterrains"; phrase qui a été prise à la lettre parfois, de sorte que Grond est parfois présenté à tort comme un marteau de guerre au lieu d'une masse. Cette idée est renforcée dans Le Seigneur des anneaux lorsque les armées de Sauron Maria Sitian Gondor sont appelées "Enfer marteau des temps anciens", où il est appelé le nom honorifique du terrible bélier du Mordor. Dans l'index des objets du même livre, il est appelé "Masse de Morgoth".

Fils d'un forgeron du nord de la Cimmérie, est né sur un champ de bataille. Très jeune, il participa au pillage de Venarium, à la frontière avec Aquilonia, et peu de temps après, il rejoignit un groupe d'Aesir5. À Vanaheim, il rencontra un sorcier nommé Shaman qui lui montra une vision de l'avenir dans laquelle il fut couronné roi. des plus puissants des royaumes hybrides. Il traversa toutes les nations de l'ère Hiboria pendant plusieurs années, intervenant dans les plans du sorcier Tigh-Amun stigio, l'un de ses ennemis les plus récurrents, et pendant qu'il était mercenaire dans la mer Intérieure du Vilayet, il fut persécuté par les soldats du sorcier Kharam -Akkad, mais sauvé par le mercenaire hirkania Red Sonja5. Avant de tuer le sorcier, il lui montra une vision dans un miroir dans lequel il était représenté comme un lion. Dans le port de Messantia, il fut forcé de fuir les autorités et embarqua sur le navire Argos, en direction de Kush et des Black Kingdoms. Le navire a été attaqué et coulé par le navire pirate Tigress, placé sous le commandement du Shemit Bêlit, appelé «la reine de la côte noire». Ils sont tombés amoureux amoureux et se sont consacrés ensemble au pillage des navires des royaumes hybrides pendant deux ans.5 Les Amérindiens des Black Islands l'appelaient Amra, le Lion, avec lequel il comprenait le sens de la prophétie de Kharam-Akkad. Après l'assassinat sauvage de Bêlit, il fut tenté par le magicien Zukala de choisir entre préserver la vie de Red Sonja ou récupérer Bêlit. Il a décidé de ne pas sacrifier Hirkania. Il était pirate dans les îles Barachanas, capitaine des flibustiers zingariens, mercenaire dans le Styx et dans les royaumes noirs, était à la tête de l'armée aquilonienne et fait prisonnier par le roi Numédides qu'il a ensuite assassiné, se proclamant roi d'Aquilonia 6. qu’il a dû sauver après avoir parcouru la moitié du monde et avec lequel il a eu trois enfants: Conn, Taurus et Radegund5. Par la suite, il a eu plusieurs aventures avec son fils Conn, mais au bout d’un moment, Zénobie est mort et a fait face au danger des Red Shadows, il a abdiqué son trône en faveur du prince Conn, s'aventurant vers l'ouest sur son navire The Red Lion, disparaissant dans la mer de l'Ouest.

Dans la mythologie nordique, Lævateinn est une arme puissante qui est brièvement mentionnée dans la poétique Fjölsvinnsmál Edda. Le nominatif Lævateinn n'apparaît pas dans la lecture du manuscrit original, mais il s'agit d'un amendement de Hævateinn fait par Sophus Bugge et d'autres. Le nom modifié Lævateinn a été considéré étymologiquement comme un kenning pour une épée en norrois ancien, traduit par "brindille à endommager". Laevateinn ou lévatine, également appelée "baguette magique pour causer des dommages" ("baguette blessante") ou "bâton de destruction" (Staff of Destruction); Il montre une relation avec la lance de Lugh dans la mythologie celtique, qui pourrait provoquer des tremblements de terre et avoir une affiliation avec le feu. Lugh est un dieu équivalent à Loki dans la mythologie nordique. C'est une épée mythique qui est passée des mains de Loki à celles de Surtr, d'où elle a été transmise à Freyr. En général, l'élément feu lui est attribué (Loki et Surt sont associés à l'élément feu) et la dualité d'être une épée ou un lanceur d'épée. Un elfe nommé Völundr l'a forgée, le nom Völundr fait référence à un forgeron; Vili un des frères dieux de la création d'Odin et Loki lui-même. Ce qui explique pourquoi ce dernier a été considéré comme une entité du chaos, en plus de justifier la fraternité du sang avec Odin. Pendant des générations, des mythes et des histoires ont circulé sur le fait que les Nordiques sont dans l’arbre (le frêne) du monde, connu sous le nom d’Yggdrasill dans les sagas nordiques et la poésie scandaleuse. Une sombre légende raconte comment un ambitieux Jotun s'est aventuré au centre du frêne pour obtenir une branche légendaire qui s'y trouvait, la "Branch of Ruin", connue pour la particularité de pousser dans des endroits sans vie apparente, en morceaux de squelettes extraits de un endroit au feuillage abondant (voir gui); il l'arracha de sa base et se dirigea vers les terres des Dvergars. C’est le même jotun qui a donné à la branche l’attribut pour devenir Leaveteinn.

Ame-no-nuboko ou Ama-no-nuboko (天 沼 矛 (dans le Kojiki), 天 之 瓊 矛 ou 天 瓊戈 (dans le Nihonshoki? ”Hallebarde céleste du marais” (dans le Kojiki), ”Halle céleste avec des joyaux "(In Nihonshoki)) est le nom d'une lance mentionnée dans la mythologie japonaise. Selon Kojiki, le couple de dieux Izanagi et Izanami aurait reçu l'ordre des autres dieux primordiaux (Kotoamatsukami) pour consolider et façonner la Terre, qui à ce moment-là était une masse molle et molle, et ils ont reçu la lance Ame-no-nuboko. Puis, Izanagi et Izanami sont arrivés au pont céleste flottant appelé Ame-no-ukihashi (天 浮橋?) et ont utilisé la lance pour réveiller la masse chaotique. et quand il fut soulevé d'un bout, de l'eau salée sortit qui, quand elle tomba, se coagula et donna naissance à la première île appelée Onogoro-shima (能 碁 呂?). Par la suite, les deux dieux descendirent sur l'île, se marièrent et donnèrent naissance à Le Japon a déjà une quantité innombrable de dieux.

Dans la mythologie grecque, selon Homère, l'égide est le bouclier ou le rodéo de Zeus, sculpté pour lui par Héphaïstos, garni de glands et portant la tête de Méduse en son centre. A l'origine, symbole du nuage d'orage, il est probablement dérivé de αισσο aisso, qui signifie «mouvement rapide et violent». Une autre étymologie possible provient de la racine Αιγ- Aig-, 'ola', comme dans ιγαίον (Égée), 'mer ondée'. Lorsque Zeus le secoua, le mont Ida fut couvert de nuages, produisant une sorte de tornade gigantesque appelée καταιγίς, le tonnerre tomba et les hommes furent remplis d'effroi. paronomasia, le nom d'une telle tempête aurait été métaphorisé avec le mot grec désignant le bouc, αιχ. Parfois, Zeus le prêtait à Athéna (avec lui, il apparaissait sur Palladium) et, rarement, à Apollo. Dans une autre histoire1, il est dit que Zeus utilisait la peau du bouc Amaltea, qui l'avait nourri en Crète, comme un rodéo lorsqu'il partit se battre contre les Géants. Il y a aussi la légende qui décrit l'égide comme un monstre qui crachait le feu, comme la Chimère, tuée par Athéna, qui lui a ensuite pris sa peau comme une cuirasse 2. D'autres disent même que l'égide était la peau du monstrueux Palas. Une autre version indique que l’égide était vraiment la peau de chèvre utilisée comme ceinture pour tenir le bouclier. Lorsqu'il était utilisé de cette manière, il était généralement tenu sur l'épaule droite et enveloppait partiellement la poitrine lorsqu'elle passait obliquement devant et rejoignait à l'arrière le bouclier sous le bras gauche. Ainsi, par extension, on utilisait parfois l’égide pour désigner le bouclier qu’elle tenait et, à d’autres moments, un obus dont elle assurait en partie la fonction. Selon cette double signification, l’égide apparaît dans les œuvres d’art, parfois avec la peau d’un animal couvrant les épaules et les bras, et parfois comme un pectoral, avec un bord de serpents correspondant aux glands référencés par Homère, et normalement avec la tête de Méduse au centre. Il est souvent représenté dans les statues d’empereurs, de héros et de guerriers romains, ainsi que dans des camées et des vases. De plus, dans la mythologie nordique, le nain Fafner porte un casque appelé Aegis.

Dans la mythologie scandinave, Gram était le nom de l'épée que Sigurd (Siegfried) utilisait pour tuer le dragon Fafner. Il a été forgé par Völundr, le Forgeron Magique, et appartenait à l'origine à son père, Sigmund, qui l'a reçu dans le hall de Volsung après l'avoir sorti du coffre où Odin l'avait enterré - personne d'autre ne pouvait l'enlever. L'épée a été détruite et renforcée au moins une fois. Après avoir été renforcé, il a divisé une enclume en deux. Dans le Chant des Nibelungs (Nibelungenlied), l'épée de Siegfried s'appelle Balmung, parfois appelée Palmunc. Dans le cycle des opéras Der Ring des Nibelungen ("L'Anneau du Nibelungo") de Richard Wagner, l'épée est appelée Notung (ou "Nothung"), c'est-à-dire "le nécessaire".

Dart (Sting en anglais original) est le nom d'une arme fictive de l'univers imaginaire créée par l'écrivain britannique JRR Tolkien, qui apparaît dans ses romans The Hobbit et Le Seigneur des anneaux. Il s'agit d'un poignard elfique recueilli par le clochard Bilbo Baggins dans une grotte de Trolls au début de son voyage avec les treize Nains et Gandalf le Gris vers la Montagne isolée rapporté dans le hobbit. Dart est un poignard elfique, mais pour la taille du petit hobbit, il convient parfaitement à une épée courte. La dart a été fabriquée dans la ville de Gondolin pendant le premier âge du soleil et sauvée de la destruction de cette ville et de l'inondation du Béleriand par les serviteurs de Morgoth qui le considéraient comme un butin de guerre. Comme dans le cas d'autres épées célèbres fabriquées par Gondolin, telles que Orcrist ou Glamdring, l'acier froid de Dart avait la propriété de virer au bleu spectral à l'approche des orcs, ennemis éternels des Elfes. Il avait aussi un bord exceptionnel, capable de traverser la peau d'un troll entraîné par la légère force d'un hobbit, tandis que Boromir, essayant avec son épée, ne le brisait pas. Le nom Dart n'est inscrit dans aucune partie de l'arme, il a été attribué par Bilbo lui-même lorsqu'il a sauvé ses compagnons nains des araignées géantes de la Forêt-Noire. Par conséquent, le nom ne se trouve dans aucune langue elfique, mais dans la langue commune (Oestron), représentée dans le roman par l'anglais courant (Sting). Un rôle important joué par Dart, dans l’histoire racontée dans The Hobbit, consistait à intimider Gollum, dans la grotte, tout en battant des énigmes avec Bilbo pour décider de son avenir. Par conséquent, le poignard a une partie de la "faute" que l'anneau se soit retrouvé entre les mains de Bilbon; on pourrait considérer que la participation de Dart à cet événement, de même que sa rencontre avec Bilbo dans la grotte des trolls et la perte de Bilbo dans les Cloudy Mountains, font partie du sort que Gandalf avait prévu à Bilbo et qui travaillait dans cette instant précis. Cependant, toutes les "coïncidences", comme on pourrait l'appeler en Terre du Milieu. Pendant la guerre de l'anneau, Bilbo quitte La Comarca et voyage pour la dernière fois, transportant Dart. Lorsque Frodon arrive à Rivendel, où il se trouve à Bilbo, il donne à Dart et au Mithril du Cotte de mailles nain. Dart est utilisé par Frodo lors de son voyage au Mordor mais rarement, après Amon Hen, lorsque la Communauté de l'Anneau se dissout, il prend des mesures punitives, car Frodon doit se frayer un chemin à travers le combat secret et non au corps à corps. . Cependant, Frodon laisse tomber Dardo lors de son combat avec Ella-Laraña, qui perd et finit par être prisonnier de cet esprit monstrueux. Sam Gamyi récupère Dart et confronte Ella-Laraña. La dernière fois qu'il a été utilisé est le sauvetage de Frodon de la tour de Cirith Ungol, où les Orcs l'ont gardé prisonnier, voire plus tard, lors de la restauration de la région. L'épée passe de Frodon à Sam lorsqu'il traverse la mer pour se rendre à Valinor avec les Trois Sages (Círdan, Galadriel et Elrond) et Gandalf. Le Comte des Années ne dit rien du sort de Dart s'il reste au Musée de Cavada Grande ou s'il est traversé par Mer lorsqu'il traverse la mer, au quatrième âge du soleil.

Tyrfing, également connue sous le nom de Thyrfing, est une épée de la mythologie nordique qui apparaît dans le poème de la poétique Edda intitulée The Awakening of Angantýr et dans la saga Hervarar. Dans l'opéra de Richard Wagner, le roi Alberich le donne à Odin. Tyrfing est une sacrée épée. Elle est porteuse d'infortune, elle doit tuer un homme chaque fois qu'elle est tirée au sort. Svafrlami de Gardariki, roi de la lignée Odin, a forcé des nains à forger l'épée appelée Tyrfing (en espagnol: moissonneur, meurtrier). Les nains se vengent en la jetant un sort pour que son maître meure, aucune des blessures qu’elle a causées ne pourrait être guérie et serait porteuse de trois grands maux. Svafrlami meurt aux mains du berserker Arngrim, qui hérite de l'épée et kidnappe Eyfura par la force, qui devient son épouse et a douze enfants. Ongenþeow, l'aîné de tous, et ses frères, meurent près d'Uppsala à cause d'un duel (holmgang) entre Hjalmar et son frère de sang Örvar-Oddr; mais Hjalmar, blessé par Tyrfing, n'a que le temps de chanter son chant de mort. Hervör, la fille d'Ongenþeow, est livrée sous la forme d'une alliance conjugale, ignorant leur relation. Quand elle le découvre, la fureur de la guerre la saisit, elle s'arme comme un skjaldmö et se dirige vers Munarvoe à Samsø, à la recherche du fichu épée des nains.

Dans la mythologie nordique, le Gríðarvǫlr masc. c'est la baguette magique que le géant (gýgr) Gríðr (qui était aussi la mère du dieu Viðarr: Hon var móðir Viðars hins þǫgla 'était la mère de Viðarr le taciturne », dit Skáldskaparmál de Snorri; le père était Odín) , il a prêté au dieu Thor l'avertissant des intentions diaboliques du géant (yotun) Geirröd de l'assassiner; Ce Yotun avait pardonné la vie de Loki en échange de l'avoir convaincu d'aller à la citadelle de Geirrod, le Geirrøðargarðar sans ses trois attributs précieux: Miólnir, le Járngreipr et le Megingjarðar. Sur le chemin du Geirrøðargarðar, Tor passa la nuit chez Gríðr. en échange de cette nuit, elle l'a aidé en lui conseillant le lendemain matin au sujet de Geirrod et en lui prêtant trois de ses biens qui fournissaient les trois de Thor et qu'il ne portait pas avec lui: des gants de Járngreipr, une ceinture de force et la tige susmentionnée. Ces objets ont aidé Thor à vaincre Yotun Geirrod et sa famille. Gríðr est mentionné dans le poème Þórsirápa d'Eilífr Goðrúnarson et également dans le Skáldskaparmál de Snorri Sturluson.

Il avait été prédit que Narsil ne le reproduirait pas avant que l'Anneau Unique ne réapparaisse, ce que les Sages espéraient ne jamais arriver. Mais des milliers d'années plus tard, Faramir et Boromir avaient un rêve dans lequel on leur disait que, parallèlement à la réapparition du "Dommage d'Isildur", l'épée brisée serait de nouveau forgée et que "le sans couronne serait roi à nouveau". La réponse au puzzle a été trouvée par Boromir à Rivendel. Là, l'épée a été forgée à nouveau, à la fin du troisième âge, pour Aragorn, recevant alors un nouveau nom: Andúril, mot sindarin qui peut être traduit par "Flamme occidentale". Aragorn portait l'épée avec lui pendant la Guerre de l'Anneau, brandissant celle qui avait été brisée pendant la guerre contre Sauron et qui, maintenant que l'Anneau était revenu, revenait à son tour pour vaincre à nouveau les Ténèbres. Cependant, aucun des textes de Tolkien n'indique si le fils du roi Elessar, Eldarion, a reçu l'épée en héritage après la mort d'Aragorn, ou s'il a reçu l'épée glamdring elfique, que Gandalf avait laissée sous la garde d'Aragorn. aux terres impérissables.

L'épée d'Attila était une arme légendaire portée par Attila le Hun. L’historien romain Jordanes, citant l’historien Priscus, a donné l’origine de l’arme: "Quand un berger vit une certaine vache de son troupeau qui boitait et ne trouva pas la raison de cette blessure, il suivit avec anxiété la traînée de sang Épée qui avait marché inconsciemment en grignotant l'herbe, il la cloua au sol et la tendit à Attila. Il était heureux de ce cadeau et, ambitieux, pensait avoir été nommé gouverneur du monde entier et que par l'épée Mars était assuré de la suprématie dans toutes les guerres. "1 L'utilisation de" Mars "ici est due à l'interprétation du Prisco romain. Cependant, les Huns n'adoptant pas les noms de divinités romaines, le nom le plus probablement utilisé par les Huns auraient été "l'épée du dieu de la guerre" la plus générique, les légendes hongroises l'appellent simplement "az Isten kardja" (l'épée de Dieu). La description de Prisco est également remarquable pour décrire comment Attila l'a utilisée comme une arme militaire et comme un symbole de faveur divine, ce qui peut avoir contribué à sa réputation de "fléau de Dieu". Comme l'historien Edward Gibbon l'a expliqué, "la vigueur avec laquelle Attila brandissait l'épée de Mars a convaincu le monde qu'elle n'avait été réservée que pour son bras invincible". [2] De cette façon, il est devenu quelque chose comme un sceptre et, en représentation du droit d'Attila à la souveraineté.

Narsil (en quenya Luna-Sol) est le nom d'une épée fictive qui apparaît dans les œuvres de l'écrivain britannique JRR Tolkien, principalement dans le roman "Le Seigneur des anneaux". Selon la tradition, il a été forgé par le nain forgeron Telchar à Nogrod, l'une des villes naines des Montagnes Bleues de la Terre du Milieu, au cours du Premier Âge. À la fin du deuxième âge, Narsil était brandi par Elendil le Haut, roi d'Arnor et du Gondor après la chute de Númenor, lors de la guerre de la dernière alliance contre les armées de Sauron. Dans la bataille finale au pied du mont de la Destinée, après la mort de Gil-Galad (dernier roi suprême des Noldor) aux mains de Sauron, Elendil a attaqué Sauron enragé, bien qu'il se soit retrouvé mort, et l'épée, fendue sous le poids de votre corps en tombant. Isildur, fils d'Elendil, assomme Sauron et coupe le doigt sur lequel il porte l'anneau unique avec la lame de la garde. Les fragments de Narsil ont été emmenés au nord avec l'Anneau par Isildur, bien qu'il soit tombé dans une embuscade des orcs lors de ce que l'on a appelé le désastre Gladios Field. L'anneau a été perdu dans la rivière Anduin, mais les fragments de Narsil ont été emportés à Rivendel par Ohtar, le chevalier d'Isildur et l'un des trois seuls survivants de l'embuscade. Les fragments de Narsil ont depuis été hérités du royaume d'Arnor jusqu'à la fin du royaume, après quoi les capitaines des Dunedain, descendants des rois d'Arnor, ont conservé les fragments à Rivendel.

Gungnir ou Gungner était la lance d'Odin. Le mot signifie la production d'un tremblement violent ou secouer, soi-disant, il a été vivement secoué pour tous ceux qui ont été frappés par elle. Selon la mythologie, il aurait été fabriqué par les fils d'Ivald (les nains) et aurait été donné à Odin par Loki en compensation du vol des cheveux de Sif. Odin se jette sur le champ de bataille avec un casque en or, une armure brillante et sa lance Gungnir. Cette lance ne pourrait jamais échouer ou perdre le signal, et le serment a été rendu sur la pointe de Gungnir. Il existe également un personnage, Durandarte, dans le Romancero Viejo, célèbre pour ses relations avec Belerma, qui personnifie l'épée susmentionnée. Durandarte a accompagné Roldán jusqu'à sa mort lors de la bataille de Roncesvalles le 15 août 788. Dans les deux chansons (La Chanson de Roland et Le cantar de Roncesvalles), il est mentionné que Charlemagne le trouve avec l'épée à côté de lui. Lac Carucedo au fond duquel, dit la légende, se trouve l’épée Roldán. Dans d'autres versions, Roldan a jeté l'épée dans l'eau avant de mourir pour l'empêcher de tomber entre les mains de l'ennemi. Selon une légende, l'épée de Roldán se trouve dans le lac Carucedo, près des mines romaines de Las Médulas1. 2 Il existe une autre version qui indique que le chevalier de Léon, Bernardo del Carpio, après avoir battu Roldán, a pris l'épée Durandarte avec qui a ensuite été enterré à Peña Longa (Aguilar de Campoo). Plus tard, Carlos I a débarqué à Laredo et, en passant par Aguilar, il s’est arrêté devant la tombe de Bernardo del Carpio et a pris l’épée qui l’accompagnerait une bonne partie de sa vie. [Cette citation était nécessaire] Cette épée avait le pouvoir de se transformer en pierre , tout ce qui le touchait par la feuille nord.

Il a été forgé par les elfes pour le roi Turgon de Gondolin, l'un des hauts rois du Noldor. C'était la double épée d'Orcrist, l'arme d'Ecthelion de la Fuente, capitaine de la ville. L'épée a disparu après la chute de Gondolin, à la fin du Premier Âge du Soleil d'Arda, découverte au Troisième Âge par Gandalf, Bilbo Bolsón et la compagnie des nains (comme le dit le hobbit) dans une grotte de trolls , faisant partie d’un trésor ayant pour origine le pillage de Gondolin. À côté, une épée courte (relative à la taille du hobbit; les elfes le considéreraient comme un poignard), également un elfe, que Gandalf accorda à Bilbo, qui, au cours de l'aventure, la nomma Stinger ou Dart. Glamdring avait le pouvoir de briller à proximité des orcs, comme toutes les épées à lame elfique. Gandalf l'a utilisé pendant toute la guerre de l'anneau. À la fin de celui-ci, il choisit de la laisser sous la tutelle d'Aragorn, le roi Elessar, avant de partir pour les Terres impérissables de Valinor.

Le sabre laser, sabre laser ou sabre laser (le troisième sens est la traduction littérale du sabre laser anglais) est une arme fictive qui apparaît dans le monde fictif de Star Wars. Elle ressemble à une épée traditionnelle à la différence que sa "lame" est un faisceau d'énergie (plasma). Le son caractéristique est une combinaison de l'éclairage d'un projecteur de film et des interférences causées par un câble audio sans isolation sur un téléviseur. Il semble que l'idée du sabre de lumière ne vienne pas du réalisateur du film, George Lucas, mais de son ami Francis Ford Coppola, inspiré par l'épée de feu de l'empereur Ming, ennemi de Flash Gordon.

Kusanagi-no-tsurugi est une épée japonaise légendaire. Son vrai nom est Ame no Murakumo no Tsurugi ("Grappe de pluie de nuages en grappes"), mais il est plus connu sous le nom de Kusanagi ("tondeuse à gazon" ou, plus vraisemblablement, "sabre du serpent"). On peut aussi l'appeler Tsumugari no Tachi. Le royal Kusanagi est probablement une épée de style bronze: courte, droite et à double tranchant; très différent du katana le plus récent, avec un seul bord incurvé. Il peut être tenu avec une ou deux mains.

Selon la légende, la lance sacrée (également connue sous le nom de lance du destin) est le nom donné à la lance avec laquelle un soldat romain, nommé Longinus selon un texte biblique apocryphe, a traversé le corps de Jésus quand il était sur la croix.

Dans la mythologie nordique, Mjolnir (islandais Mjölnir, danois et norvégien Mjølner, suédois Mjölner) est le marteau du dieu Thor. Selon les dernières sources islandaises, Mjolnir serait l'une des armes les plus redoutées de la mythologie nordique. Ils racontent qu'il est utilisé pour vaincre tous ceux qui contestent la suprématie de l'Asir. Bien qu'il soit généralement décrit et décrit comme un marteau, il est parfois appelé une hache ou un bâton1. L'un des mythes les plus populaires sur son origine est relaté à Skáldskaparmál, où il est mentionné que les nains Sindri et Brok l'ont forgée et présentée. Thor dans le cadre d'un pari fait par Loki.

Excalibur est le nom le plus accepté de l'épée légendaire du roi Arthur, à laquelle différentes propriétés extraordinaires ont été attribuées à travers les nombreuses versions du mythe et ses récits. Il y a plusieurs histoires sur la manière dont Arthur devient le détenteur de l'épée mythique. Geoffrey de Monmouth dit seulement qu'il a été "forgé à Avalon", sans donner plus de détails. La première version sur l'obtention d'Excalibur est celle que Geoffrey de Monmouth raconte dans Regium Britanniae Histoire: À la mort du roi Uther Pendragon, Merlin forge une épée (Excalibur) sur l'île d'Avalon (l'île des fées) et l'insère une pierre qui était à côté d'une chapelle de Londres. Dans The Cycle of the Vulgate, il est dit qu'Arthur avait cassé son épée (celle de la pierre) lors d'un combat contre Sir Pellinore. Merlin l'emmena dans un lac d'où émergea une belle jeune femme, la Dame du lac. Cette Dame du Lac était une puissante sorcière qui pouvait marcher sur l'eau et qui avait un château au fond de ce lac. La dame avait en sa possession Excalibur, une épée magique. Merlin demanda cette épée à son élève et elle la lui tendit. L'épée était entreposée dans un fourreau qui empêchait le roi de perdre du sang quand il l'emmenait au combat. Merlin avertit Arturo de faire attention, car un jour, une femme digne de sa confiance arriverait et prendrait le pod d'Excalibur pour toujours. La légende la plus répandue nous apprend qu'Arturo l'a obtenu après l'avoir sorti d'un rocher où il était incrusté, par un acte de magie exécuté par Merlin à qui sa forge serait attribuée et c'est la version française de R. Moron, dans son travail. appelé "Merlin." Mais selon l'écrivain anglais Sir Thomas Malory, il affirme que l'épée du Rocher n'était pas Excalibur, puisque Arthur brise son premier sabre dans une bataille contre le roi Pellinore. Être dans "Le Cycle de la Vulgate", qui raconte qu'une nymphe du lac appelée "Dame du Lac" lui donne le véritable "Excalibur", représentant alors la deuxième épée d'Arthur. On appelle la légende galloise Excalibur; "Caledfwlch" apparaît ainsi dans la romance du guerrier d'Arthur, où Llenlleawg, un chevalier irlandais, vole le chaudron magique et tue le roi Diwnarch.1 Le nom "Excalibur" signifie "Cut the Steel", l'un des siens autant de propriétés magiques, comme il a également été dit que la gaine Excalibur possédait la capacité de protéger sur le transporteur en l'empêchant d'être endommagé ou blessé. Dans le roman moderne "The Last Legion", Ambrosino, de son vrai nom Merlin, affirme que l'épée a été forgée par un forgeron d'une météorite tombée dans les montagnes des Grampian (Ambrosino a déclaré que la météorite "refroidissait le la glace du nord de la Grande-Bretagne, où il a été ramassé par un maître forgeron qui l’a façonné pendant trois jours et trois nuits, sans manger ni boire, pour finalement forger l’épée la plus puissante sur Terre: Excalibur ")