Les sports basques les plus intéressants

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Les sports basques les plus intéressants
Source: listas.20minutos.es

TOP 17:
COURSES AVEC DES SACS
Aussi appelé Courses de contrebandiers (Zaku lasterketa): Courses qui sont exécutées avec un sac lourd chargé à l'arriÚre. Ils imitent le travail des passeurs et sont originaires de la zone frontaliÚre entre l'Espagne et la France.

TOP 16:
ASCENSEUR DE VOITURE
Il consiste à effectuer autant que possible une course fixe sur le gouvernail. La distance est calculée sur la circonférence. Il n'y a pas de rÚgles universelles, bien qu'à Donapaleu-Saint Palais, par exemple, le chariot pÚse 350 kilos.


TOP 15:

BALAYEUSES

La tariĂšre (harri zulaketa en basque) est un sport rural basque consistant Ă  percer des pierres Ă  l'aide d'une longue barre d'acier. Index [masquer] 1 Histoire 2 RĂ©cupĂ©ration 3 Voir aussi 4 Liens externes Historique [modifier] Depuis la fin du 19Ăšme siĂšcle et pendant le premier tiers du 20Ăšme siĂšcle, le commerce des foreurs Ă©tait trĂšs courant dans les opĂ©rations miniĂšres, oĂč il Ă©tait nĂ©cessaire de forer la roche vis sans fin (barres d'acier d'environ 2 mĂštres de long et de plusieurs kilos) pour introduire les explosifs qui ont ensuite explosĂ© en dynamitage contrĂŽlĂ© et ainsi pouvoir extraire les roches contenant le minerai de fer. À cette Ă©poque, ce travail Ă©tait effectuĂ© brutalement, sans aucune machine. Il s’agissait donc d’un mĂ©tier d’une duretĂ© exceptionnelle et, par consĂ©quent, trĂšs apprĂ©ciĂ© des spĂ©cialistes du forage percevant des salaires plus Ă©levĂ©s que les autres. Exposition en 2006. Cette activitĂ© difficile a incitĂ© ces professionnels Ă  vouloir montrer aux autres leur force et leur compĂ©tence dans le mĂ©tier, suscitant une grande admiration parmi le public. La loi sur le repos dominical de 1904 favorisait les rĂ©unions de badauds sur les places des villes miniĂšres, qui commençaient bientĂŽt Ă  se rassembler autour du spectacle que portaient les foreurs. DĂšs le dĂ©part, des paris ont Ă©tĂ© Ă©tablis sur qui pourrait creuser le trou plus profondĂ©ment ou en moins de temps et, bientĂŽt, des championnats d'exercices ont Ă©tĂ© organisĂ©s auxquels de nombreux spectateurs ont assistĂ©. Miser de l'argent Ă©tait Ă©galement un bonus important pour quelques joueurs qui se dĂ©marquaient du lot. Au dĂ©but des annĂ©es 1930, avant la guerre de SĂ©cession, les championnats des foreurs ont disparu. Avec l'arrivĂ©e de machines (marteaux hydrauliques et compresseurs), le forage manuel a cessĂ© d'ĂȘtre nĂ©cessaire dans les carriĂšres et les mines. Ainsi, avec la fin du commerce, ce sport populaire a pris fin, jusqu'Ă  sa rĂ©cente reprise. RĂ©cupĂ©ration Cette modalitĂ© sportive retrouvĂ©e Ă  Ortuella, lors des cĂ©lĂ©brations de la municipalitĂ© de 1998, Ă©tait trĂšs populaire avant 1930 dans les cĂ©lĂ©brations des villes de la rĂ©gion miniĂšre de Biscay. De ce premier test en 1998, plusieurs Ă©quipes ont Ă©mergĂ©, principalement sur la rive gauche, qui ont crĂ©Ă© une ligue de compĂ©tition. En 2012, la XIVe Ă©dition de la Ligue Euskal Herria Borers a Ă©tĂ© jouĂ©e.

TOP 14:

YUNQUE RISE

Anvil Lift ou Ascenseur (en basque Ingude altxatzea, en français lever d'enclume) est un sport rural basque. Il s’agit de l’un des Jeux d’Iparralde, modalitĂ©s sportives du sport rural basque, qui ont leur origine et une plus grande tradition dans le Pays basque français. Index [masquer] 1 Historique 1.1 ÉlĂ©ments du test 1.2 DĂ©veloppement du sport 2 Voir aussi Historique [modifier] L’enclume est un outil couramment utilisĂ© par les forgerons et les forges. Les forgerons avaient l'habitude de porter les enclumes sur le dos lorsqu'ils se dĂ©plaçaient d'un endroit Ă  un autre pour faire un travail (par exemple, blesser un cheval ou un animal de trait). De la mĂȘme maniĂšre que d’autres outils de travail, tels que la hache ou la faux, deviendront un moyen de passer des paris et des dĂ©fis dans lesquels mesurer la force et la rĂ©sistance des concurrents; Au Pays basque, les enclumes ont commencĂ© Ă  ĂȘtre utilisĂ©s pour mesurer la force entre forgerons et agriculteurs. Bien que jadis les dĂ©fis incluaient la levĂ©e de gros et lourds enclumes, cette pratique a disparu et le sport actuel consiste Ă  soulever une enclume de dimensions et de poids relativement petits, de maniĂšre rĂ©pĂ©titive, d’une base Ă  une hauteur prĂ©dĂ©finie situĂ©e au-dessus de la tĂȘte de l’athlĂšte. Cette modalitĂ© sportive est originaire du Pays basque français oĂč elle a plus de tradition. De lĂ , il s'Ă©tendait vers le sud en direction de la partie espagnole d’Euskal Herria, ainsi que d’autres jeux et sports connus collectivement sous le nom d’Iparralde Games. ÉlĂ©ments du test [modifier] L'enclume rĂ©glementaire utilisĂ©e dans les tests de compĂ©tition pĂšse 18 kg. Ses dimensions sont 320 +/- 20 mm de haut et 600 +/- 20 mm de long. Les poignĂ©es sont lisses et ont un diamĂštre approximatif de 40 mm et une longueur minimale de 160 mm. Les poignĂ©es sont gĂ©nĂ©ralement doublĂ©es de caoutchouc. Dans les tests fĂ©minins, le poids de l'enclume est gĂ©nĂ©ralement infĂ©rieur Ă  10 kg. La structure utilisĂ©e pour les tests se prĂ©sente gĂ©nĂ©ralement sous la forme d'un "U". Un poteau vertical contient la visiĂšre, une plaque supĂ©rieure rectangulaire en mĂ©tal sur laquelle l'enclume doit ĂȘtre levĂ©e. La visiĂšre peut ĂȘtre rĂ©glĂ©e Ă  une hauteur diffĂ©rente et est gĂ©nĂ©ralement placĂ©e Ă  30 cm au-dessus de la tĂȘte de l'athlĂšte. Les dimensions de la visiĂšre sont Ă©galement rĂ©glementĂ©es. Il doit mesurer au minimum un demi-mĂštre de long et 400 mm de large. La base Ă  partir de laquelle l'enclume doit ĂȘtre soulevĂ©e est placĂ©e parallĂšlement Ă  la visiĂšre. C'est un rectangle en bois massif de 1m de long et 20 cm de large. Il est gĂ©nĂ©ralement Ă  20 cm du sol. La partie supĂ©rieure de la base est gĂ©nĂ©ralement recouverte d'une plaque d'acier en forme de U de 50 cm de long, 20 cm de large et 1 cm d'Ă©paisseur. La distance du pĂŽle Ă  la pointe de la base est de 1 m. DĂ©veloppement du sport Dans les championnats, le temps de compĂ©tition est gĂ©nĂ©ralement prĂ©dĂ©fini en 1 minute et 30 secondes. Pendant ce temps, l'athlĂšte doit effectuer autant de levĂ©es que possible. Le concurrent qui obtient le plus grand nombre de victoires gagne et en cas d'Ă©galitĂ©, le concurrent qui a agi en premier lieu est dĂ©clarĂ© vainqueur. Dans Sola, la tradition veut que le test soit rĂ©pĂ©tĂ© dans un dĂ©lai plus court pour rompre l’égalitĂ©. Le participant peut saisir l'enclume latĂ©ralement et frontalement. Pour que l'Ă©lĂ©vation soit valide, l'athlĂšte doit lever l'enclume de la base Ă  la visiĂšre. L'Ă©lĂ©vation est considĂ©rĂ©e comme valide uniquement si elle touche les deux Ă©lĂ©ments. L'Ă©lĂ©vation est considĂ©rĂ©e comme valide au moment oĂč la plaque supĂ©rieure est frappĂ©e. Habituellement, l'athlĂšte a gĂ©nĂ©ralement un assistant, qui ne peut pas toucher l'athlĂšte pendant le test et tient gĂ©nĂ©ralement la plateforme. L'utilisation de rĂ©sine ou de tout autre produit favorisant la prise en main est strictement interdite. Dans certains championnats, plus de 90 remontĂ©es ont Ă©tĂ© effectuĂ©es (1 par seconde). Le record de Navarre est Xabier Sein avec 93 remontĂ©es mĂ©caniques. Jose Lapazaran (Vizcayno) a le record avec 100 hits en 1 minute et 30 secondes. Dans les expositions, les conditions peuvent varier par rapport Ă  celles des compĂ©titions officielles. La technique de levage de l'enclume nĂ©cessite de garder le dos droit, aussi loin que possible, et d'exercer la force avec les jambes.

TOP 13:

MARMIT RACES

Variante de courses avec des chingas qui remplacent les poids par des tambours ou des bouilloires.


TOP 12:

COLLECTION COB

Il s’agit de rassembler dans un panier, dans les plus brefs dĂ©lais, un certain nombre d’épis, disposĂ©s en rangĂ©es Ă  une distance de 1,25 mĂštre.

TOP 11:

SIGA SPORTS

Il s’agit de couper le plus grand nombre de kilos d’herbe, Ă  l’aide de faux, dans un prĂ© d’une zone donnĂ©e, pendant une pĂ©riode dĂ©terminĂ©e. Les athlĂštes sont appelĂ©s segalaris. Ce n'est pas non plus un sport exclusif du Pays basque, comme il est Ă©galement pratiquĂ© dans les Alpes (Suisse, Allemagne, Autriche, SlovĂ©nie et Italie (Tyrol du Sud) et dans les Balkans (Bosnie-HerzĂ©govine))

TOP 10:

LANCEMENT DE FARDO

Le lancer de balles est un sport pratiquĂ© au Pays basque (en particulier au Pays basque français) et en Écosse. Une fourche est utilisĂ©e pour accrocher un sac rempli de paille au-dessus d'une barre horizontale plus haute que la tĂȘte du lanceur et se joue sur une surface de 300 mĂštres carrĂ©s. Lancement de balles au Pays Basque. En Ecosse, le poids habituel est de 7 kilos. LĂ , chaque concurrent a trois occasions de dĂ©passer proprement de la barre sans ĂȘtre touchĂ© par la balle. Une fois que tous les participants ont effectuĂ© leurs lancers, la barre est levĂ©e et tous les concurrents ayant passĂ© la premiĂšre qualification se rĂ©essayent avec la nouvelle taille, jusqu'Ă  ce que tous les athlĂštes sauf un soient Ă©liminĂ©s.


TOP 9:

STONE DRAG

La drague de pierre est un sport trĂšs rĂ©pandu en milieu rural en Cantabrie, au Pays basque et en Navarre (Espagne et France) et dans les rĂ©gions de Castille et LeĂłn, en particulier dans la modalitĂ© de traĂźner la pierre avec des bƓufs (en basque idi-dema ou idi proba) , bien que les compĂ©titions de drague de pierre soient Ă©galement organisĂ©es par des hommes (gizon proba), des Ăąnes (asto-proba), des mules (commandement-proba) ou des chevaux (zaldi-proba). Idi probak Ă  Astrabudua (Erandio) en 2006. Index [masquer] 1 TraĂźnĂ©e de pierre par des boeufs 1.1 Origine 1.2 Les boeufs 1.3 La pierre 1.4 Le carrĂ© 1.5 Les balayeurs ou akullaris 1.6 Le test 1.7 La controverse 2 Autres spĂ©cialitĂ©s 3 Voir aussi 4 RĂ©fĂ©rences 5 Liens externes Pierre traĂźnant par des bƓufs [modifier] La pierre tirant par des bƓufs est un sport dans lequel un joug de bƓufs guidĂ© par un yuntero (idi probalari) doit traĂźner Ă  travers une case ou une enceinte conditionnĂ©e Ă  cet effet, une pierre ont un poids variable compris entre 1500 kg et 4000 kg. Le yuntero qui oblige ses boeufs Ă  parcourir une plus grande distance dans un temps prĂ©dĂ©terminĂ© l'emporte Ă  l'avance. Origine [modifier] TraĂźnĂ©e de pierre Ă  la foire de San Blas de Abadiano (Vizcaya). Les bƓufs sont utilisĂ©s comme animaux de trait dans les villages basques depuis de nombreuses annĂ©es, car ces animaux Ă©taient mieux adaptĂ©s Ă  l'orographie que les mules ou les chevaux. L'origine de ces tests pourrait ĂȘtre le travail dans les carriĂšres, oĂč les pierres obtenues lors du sablage ont Ă©tĂ© travaillĂ©es plutĂŽt in situ, pour ĂȘtre ensuite traĂźnĂ©es par des bƓufs vers l'endroit oĂč elles devaient ĂȘtre transportĂ©es. Comme dans de nombreux autres sports ruraux, le travail est devenu une compĂ©tition. Jadis, les propriĂ©taires des bƓufs devaient parier de grosses sommes d’argent, de la terre, du bĂ©tail ... De nos jours, les propriĂ©taires participent Ă  des expositions dans des festivals populaires ou Ă  des compĂ©titions rĂ©gionales dans lesquelles beaucoup d’argent circule encore. Les boeufs Les taureaux sont couverts avant l'Ăąge de l'Ăąge. Normalement, les propriĂ©taires basques les achĂštent dĂ©jĂ  inutilisĂ©s pour la procrĂ©ation. Le poids du bƓuf utilisĂ© dans les essais de rĂ©sistance Ă  la traĂźnĂ©e peut varier entre 500 et 700 kilos, Ă©tablissant dans certains cas une surcharge dans la pierre en fonction du poids de l'animal. Avec le travail du hameau, le bƓuf de compĂ©tition est fait pour marcher chaque jour dans la montagne. De temps en temps, un test de rĂ©sistance est fait pour que le bƓuf ne perde pas l’habitude. La pierre DiffĂ©rents types de pierres sur la place de la ville d’Astigarraga (GuipĂșzcoa). La forme des pierres est rectangulaire, lĂ©gĂšrement plus Ă©troite sur sa face antĂ©rieure, dans laquelle un trou pour le crochet de la chaĂźne a Ă©tĂ© creusĂ©. Son poids varie beaucoup, allant de 1 500 Ă  4 000 kilos. Par exemple, la pierre de Tolosa pĂšse 4 000 kilos, 4 500 Gernika et 4 700 Mungia. Dans le domaine municipal de Berriatua, il y a 5 250 kilos, qui ne fonctionnent plus depuis 1950. Dans les cas difficiles, l'utilisation de grosses pierres est plus frĂ©quente. Dans les compĂ©titions, la plus petite pierre est choisie pour gagner le spectacle en attirant l’attention en empruntant le chemin le plus rapide. Il est gĂ©nĂ©ralement d'usage que les pierres soient exposĂ©es sur des places publiques et fassent partie du mobilier urbain. Le carrĂ© La pierre est traĂźnĂ©e par un plat formĂ© de blocs, car l'irrĂ©gularitĂ© de la ferme Ă©vite que les bƓufs ne glissent en permanence. La longueur des carrĂ©s varie selon les localitĂ©s, allant de 22 Ă  28 mĂštres. Autrefois, les tests Ă©taient effectuĂ©s dans une rue ou une place dotĂ©e de caractĂ©ristiques adĂ©quates. Aujourd'hui, les dĂ©fis cĂšdent la place aux compĂ©titions et aux championnats. Il n'y a plus deux yuntas qui optent pour les rĂ©compenses, mais plusieurs couples. Des lieux spĂ©cialement amĂ©nagĂ©s sont ensuite nĂ©cessaires pour les hĂ©bergements publics, tels que les arĂšnes, les frontons couverts ou des enclos spĂ©cifiques pour ces tests (appelĂ©s probaleku). Essai de rĂ©sistance au frottement sur pierre le 25 avril 1944 Ă  Elgueta (GuipĂșzcoa). Photo: Indalecio Ojanguren Los arreadores ou akullaris [modifier] Le bƓuf solitaire, ou yunta, est aidĂ© et stimulĂ© par l'arreer. Leur nombre dĂ©pend des conditions dĂ©finies dans le pari ou, dans les concours, des indications du rĂšglement. L'adoption de mesures visant Ă  prĂ©venir la maltraitance des animaux a considĂ©rablement attĂ©nuĂ© ses mĂ©thodes. En basque, on les appelle akullaris, Ă  cause de la baguette ou de l'akullu qu'ils utilisent. Le test consiste Ă  crĂ©er plus de places dans un temps donnĂ©. Le poids des bƓufs est important pour dĂ©finir les conditions du pari ou du concours. Lorsqu'un joug dĂ©passe le poids maximal autorisĂ© (environ 1 100 kilos), la pierre est surchargĂ©e d'un kilogramme et demi par kilogramme en surpoids. Le juge procĂšde au tirage au sort. L'ordre de dĂ©part est donnĂ© au coup de sifflet. Le boyero et les troupeaux essaient de doser le

TOP 8:

COURT DE TRUNKS AVEC LA SIERRA

Il s’agit de couper des grumes, de certaines mesures, dans les plus brefs dĂ©lais, Ă  l’aide d’une grume ou d’une scie. C’est un sport Ă©galement dĂ©rivĂ© de l’activitĂ© d’abattage.

TOP 7:

COURT DE TRUCS

La coupe ou la coupe des grumes est une activitĂ© traditionnelle de l'exploitation forestiĂšre, de la construction et des tĂąches mĂ©nagĂšres. Dans plusieurs zones forestiĂšres d'Europe, d'AmĂ©rique du Nord, d'Australie et de Nouvelle-ZĂ©lande, des sports traditionnels basĂ©s sur les tĂąches des bĂ»cherons sont apparus. Par exemple, en Castille, dans les Asturies et en Cantabrie, l’abattage ou la coupe Ă  un Ɠil en asturien. Toujours au Pays basque et en Navarre, l’aizkolaritza, coupe de bois Ă  la hache, et le trontzalaritza ou simplement trontza, coupe de bois Ă  la scie. Le point commun de toutes ces modalitĂ©s est la concurrence en scindant des fragments de tronc d'arbre Ă  l'aide d'un outil approuvĂ©, qui peut ĂȘtre une hache, une bĂ»che ou un tronc (scie pour deux personnes) ou une scie Ă©lectrique. Il y a plusieurs fĂ©dĂ©rations, mais elles n'ont pas unifiĂ© leurs rĂ©glementations. Cela implique que lors des compĂ©titions internationales, les athlĂštes en dĂ©placement doivent gĂ©nĂ©ralement composer avec des rĂ©glementations auxquelles ils ne sont pas habituĂ©s. Couper avec un tronc dans les Asturies. Outre les outils utilisĂ©s, il existe de nombreuses autres diffĂ©rences entre les modalitĂ©s: Le type de bois utilisĂ©: le hĂȘtre prĂ©domine au Pays basque, en Navarre et en Cantabrie, les eucalyptus aux Asturies et en Australie, les pins en Castille, etc. De plus, au Pays basque, les Ă©corces sont gĂ©nĂ©ralement Ă©liminĂ©es avant la compĂ©tition, tandis que dans les Asturies, elles sont coupĂ©es avec de l'Ă©corce. Positionnement des bĂ»ches (horizontales ou verticales): Pour le coupage Ă  la hache, la mĂ©thode la plus courante dans les aizkolarites basques consiste Ă  placer les bĂ»ches horizontalement clouĂ©es sur un support, en Ă©levant les aizkolari sur le tronc. En Castille, ils sont Ă©galement placĂ©s horizontalement, mais sans support. Dans les cas oĂč le tronc est maintenu vertical, le coupeur peut faire la coupe du sol Ă  une hauteur infĂ©rieure Ă  deux mĂštres, ou peut avoir Ă  faire plusieurs coupes successives, pour fixer des supports et grimper Ă  plusieurs mĂštres de haut pour finir par sectionner la partie supĂ©rieure. La durĂ©e des tests ou la quantitĂ© de journaux Ă  couper. Comparativement, les tests effectuĂ©s au Canada ou en Australie sont considĂ©rĂ©s comme de la vitesse, tandis que ceux effectuĂ©s dans les aizkolaris basques, qui durent gĂ©nĂ©ralement plus de 30 minutes (parfois plus de 60 minutes), sont considĂ©rĂ©s comme de la rĂ©sistance. Le personnage individuel, par paires ou par Ă©quipes, et le sexe des participants (dans les tests de tranches, les couples peuvent ĂȘtre un homme, une femme ou un mĂ©tis). L'objectif: dans la plupart des variantes, il s'agit simplement de sectionner le coffre, une ou plusieurs fois. En NorvĂšge, il existe une variante dans laquelle une chaise ou des lettres en bois avec une scie Ă©lectrique est sculptĂ©e. Filles pratiquant la coupe avec tronza Ă  Barakaldo (Biscaye). Index [masquer] 1 Zones d’Europe oĂč elle est pratiquĂ©e 2 Voir aussi 3 Liens externes 3.1 En espagnol 3.2 AmĂ©rique 3.3 Europe 3.4 OcĂ©anie 4 Voir aussi Zones d’Europe oĂč elle est pratiquĂ©e [modifier] Concurrence dans la coupe du bois Ă  Aviles (Asturies). Allemagne L'Autriche RĂ©publique tchĂšque. En Espagne, il existe deux fĂ©dĂ©rations importantes: une aux Asturies et une au Pays basque et Ă  Navarre. Il est moins pratiquĂ© en Cantabrie, Huesca, Madrid et en Castille et LeĂłn, en particulier Ă  Palencia, SĂ©govie, LeĂłn et Soria. En France, dans les PyrĂ©nĂ©es Atlantiques et les Alpes. Pays Bas. Royaume-Uni. NorvĂšge Suisse


TOP 6:

LEVAGE DE PIERRE

Harrijasotzea ou Harrijasoketa (voix composĂ©e de harri basque, de pierre et de jaso, Ă  Ă©lever) est le nom qui reçoit la forme d'Ă©levage de pierre, variante de l'homme fort typique du sport rural basque et pratiquĂ© dans les territoires traditionnellement appelĂ©s Euskal Herria et dans lequel deux joueurs s'affrontent pour soulever un plus grand nombre de fois des pierres de formes, de dimensions et de poids diffĂ©rents. Iñaki Perurena, l'un des plus cĂ©lĂšbres champions de harrijasotzaile, a atteint en 1999 le record de 1000 remontĂ©es continues d'une pierre de 100 kg en 5 heures, 4 minutes et 46 secondes. Il a Ă©tĂ© le premier Ă  lever des pierres de 300 kg ou plus, atteignant 320 kg en 1994. Mikel Saralegi, de Leiza de Perurena, dĂ©tient le record actuel (329 kg), obtenu en 2001.1 Au dĂ©but du XXe siĂšcle, on procĂ©da Ă  la rĂ©gulation du poids des pierres, gĂ©nĂ©ralement en granit dense, afin de distinguer quatre formes gĂ©omĂ©triques: cylindrique , cubique, sphĂ©rique et en forme de rectangle parallĂ©lĂ©pipĂ©dique. La forme cylindrique est rĂ©servĂ©e aux plus petits poids de 100, 112,5 et 125 kg, tandis que la pierre cubique et rectangulaire varie entre 125 et 212,5 kg. La pierre ou la boule sphĂ©rique est travaillĂ©e avec des poids Ă©quivalents Ă  112,5 et 125 kg. La pierre de couleur foncĂ©e ou arri beltza est l’un des matĂ©riaux de fabrication les plus apprĂ©ciĂ©s, provenant principalement des carriĂšres de ZumĂĄrraga et de LĂĄstur.

TOP 5:

SOKATIRA

Le sport populaire de remorqueur est. Des membres diffĂ©rents des deux groupes se sont formĂ©s des deux cĂŽtĂ©s de la corde, chaque corde la tirant vers eux. Le sport afin d'Ă©lever l'autre Ă©quipe est en place ou une marque particuliĂšre. Il y a 8 personnes dans chaque groupe, l’un d’eux dirigeant le groupe. En poids, ce sont des tests diffĂ©rents, prenant en compte la somme du poids de chaque groupe de participants. 525, 560, 640 et 720 kilogrammes de catĂ©gories, d’une part, et de poids. Jeux olympiques de [change | edit source] Les Jeux Olympiques ont concouru dans ce domaine de 1900 Ă  1920.

TOP 4:

PANIER DE PUNTA

La corbeille est un sport d'origine basque. Le nom vient du basque zesta-punta, 'basket tip'. On l'appelle aussi jai alai (fĂȘte joyeuse en basque). C'est une classe du jeu de balle basque qui se pratique avec un panier en osier. Dans le panier, le ballon est pris avec le panier, l'impulsion est prise et projetĂ©e vers le fronton. Dans ce mode, le panier utilisĂ© a un poids compris entre 200 et 600 g, une longueur comprise entre 62 cm pour les attaquants et 68 cm pour les dĂ©fenseurs (si l’on tient compte de la courbure des lignes, ces dimensions sont comprises entre 90 et 110 cm) et la profondeur de la cavitĂ© du panier de 15 cm. Le panier est fabriquĂ© Ă  partir de bois de chĂątaignier et d'osier, mais des matĂ©riaux synthĂ©tiques sont actuellement utilisĂ©s. La forme du panier incurvĂ©, concave, allongĂ© et Ă©troit est apparemment une modification du vieux chapeau. Il tient dans la main comme un gant (l'attache avec une corde) et est fourni avec un sac qui aide Ă  retenir le ballon. Sport d'origine basque, jouĂ© dans les frontons, gĂ©nĂ©ralement entre 54 et 60 m. La principale caractĂ©ristique du panier est de lancer la balle avec plus de force et d’efficacitĂ© aprĂšs l’avoir ramassĂ©e et laissĂ©e glisser jusqu’au bout, de lĂ  oĂč elle quittera l’adieu contre le fronton, en essayant de faire "autant" pour obtenir le plus grand nombre de points. La modalitĂ© habituelle est le jeu Ă  deux, les pays les plus remarquables Ă©tant la France, l’Espagne, le Mexique, les Philippines et les États-Unis. Index [masquer] 1 Panier supĂ©rieur du ballon de football basque 1.1 Tableau des mĂ©dailles historique 2 Panier supĂ©rieur des jeux olympiques 2.1 Tableau des mĂ©dailles historique 3 Bibliographie Panier supĂ©rieur du ballon de football basque [modifier] N ° AnnĂ©e Quartier gĂ©nĂ©ral Gold Silver Bronze Champions I 1952 San SebastiĂĄn Drapeau d'Espagne.svg Espagne Drapeau d'Espagne.svg Espagne Drapeau du Mexique.svg Mexique M. Balet - J. Balet II 1955 Montevideo Drapeau de l'Uruguay.svg Uruguay Drapeau de Mexico.svg Mexique Drapeau de l'Espagne.svg Espagne R. Montes - A. LĂłpez III 1958 Biarritz Drapeau France.svg France Drapeau Mexique.svg Mexique Drapeau Espagne.svg Espagne Azcue - JosĂ© Hamui IV 1962 Pampelune Drapeau Espagne Spain Drapeau de Mexico.svg Mexique Drapeau Espagne Spain AdriĂĄn Zubikarai - JosĂ© Hamui V 1966 Montevideo Drapeau de l'Uruguay.svg Uruguay Drapeau du Mexique.svg Mexique Drapeau d'Espagne.svg Espagne AdriĂĄn Zubikarai - JosĂ© Hamui VI 1970 Saint-SĂ©bastien Drapeau d'Espagne.svg Espagne Drapeau de France.svg France Drapeau d'Espagne .svg Espagne Drapeau du Mexique .svg Mexique Camy - Fourneau VII 1974 Montevideo Drapeau de l'Uruguay.svg Uruguay Drapeau de la France.svg France Drapeau de la Mexique.svg Mexique Drapeau de l'Espagne.svg Espagne J. Abeberry - J. Irazoqui VIII 1978 1978 Biarritz Drapeau de la France.svg France Drapeau of Spain.svg Espagne Drapeau de Mexico.svg Mexique Drapeau de France.svg France ApĂ©rribay - Totorica IX 1982 Mexique Drapeau de Mexico.svg Mexique Drapeau de France.svg France Drapeau des États-Unis.svg États-Unis Drapeau de Spain.svg Espagne D. Michelena - J. Inchauspe X 1986 Vitoria Drapeau d'Espagne.svg Espagne Drapeau de France.svg France Drapeau d'Espagne.svg Espagne Drapeau des États-Unis.svg États-Unis Etxeverria - Inchauspe XI 1990 Cuba Drapeau de Cuba.svg Drapeau de Cuba of Spain.svg Espagne Drapeau de la France.svg France Drapeau de Mexico.svg Mexique A. Compañón - Mugartegui XII 1994 San Juan de Luz Drapeau de France.svg France Drapeau de Spain.svg Espagne Drapeau de Mexico.svg Mexique Drapeau de la France. svg France Lander - Osa XIII 1998 Mexique Drapeau de Mexico.svg Mexique Drapeau de France.svg France drapeau de Mexico.svg Mexique drapeau de Spain.svg Espagne L. Garcia - E. Irastorza XIV 2002 Pampelune drapeau de Spain.svg Espagne drapeau de France.svg France drapeau de Spain.svg Espagne drapeau de Mexico.svg Mexique GarcĂ­a - Inza XV 2006 Mexique Drapeau de Mexico.svg Mexique Drapeau de France.svg France Drapeau d'Espagne.svg Espagne Drapeau de Mexico.svg Mexique GarcĂ­a - Inza XVI 2010 Pau Drapeau de France.svg France Drapeau de France.svg France Drapeau de Mexico.svg Mexique Drapeau d'Espagne.svg Espagne Tambourindeguy - Etcheto XVI 2014 Guadalajara Drapeau de Mexico.svg Mexique Drapeau d'Espagne.svg Espagne Drapeau de France.svg France Drapeau de Mexico.svg Mexique Suso - Alberdi MĂ©daillĂ© historique [modifier] # Pays Or Argent Bronze Total 1 Drapeau de France.svg France 8 2 2 12 2 Drapeau de Espagne.svg Espagne 5 8 4 17 3 Drapeau de Mexique.svg Mexique 4 6 5 15 4 Drapeau des États-Unis.svg États-Unis 0 1 1 2 TOTAL 16 16 11 43 Panier de pointe aux Jeux Olympiques [modifier] N ° AnnĂ©e Quartier gĂ©nĂ©ral Gold Silver Bronze Champions I 190 0 Paris Drapeau de France.svg France Drapeau d'Espagne.svg Espagne Drapeau de France.svg France JosĂ© de AmĂ©zola et Francisco Villota II 1924 (exposition de sport) Paris Drapeau de France.svg France Drapeau d'Espagne.svg Espagne Drapeau de la France. sv

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ROCHET

Le cliquet (bijou en basque, trinquet en français) est l’un des tribunaux homologuĂ©s pour la pratique du ballon basque et l’une des modalitĂ©s de ce sport. En AmĂ©rique latine, en particulier en Argentine, il est gĂ©nĂ©ralement connu sous le nom de tribunal fermĂ©, ce qui le distingue des autres types de fronton, gĂ©nĂ©ralement appelĂ©s tribunaux ouverts. Il existe Ă©galement un type de terrain appelĂ© cliquet (cliquet valencien) utilisĂ© dans diverses spĂ©cialitĂ©s du bal de Valence. Cette cour, en plus de son nom, partage une origine commune et certaines similitudes avec les pions de la balle basque. Index [cacher] 1 CaractĂ©ristiques du terrain et du jeu 2 SpĂ©cialitĂ©s de la modalitĂ© Ă  cliquet 3 Histoire du cliquet 3.1 SpĂ©cialitĂ© de la balle de main dans le cliquet 3.2 SpĂ©cialitĂ©s avec outils 4 Bibliographie CaractĂ©ristiques du terrain et du jeu [modifier] Cliquet Ă  Elizondo ( Navarre). Wikimedia Commons hĂ©berge du contenu multimĂ©dia sur Ratchet. Le cliquet prĂ©sente des aspects de base communs avec les frontons restants: un mur avant, appelĂ© frontis, qui permet aux joueurs de renvoyer la balle Ă  chaque jeu. Ce mur a une tĂŽle Ă  80 cm de sa base qui dĂ©limite la hauteur minimale au-dessus de laquelle la balle doit ĂȘtre ramenĂ©e Ă  l'avant. Une deuxiĂšme tĂŽle, Ă  8,5 mĂštres du sol, marque la limite supĂ©rieure de la zone de retour. La façade a gĂ©nĂ©ralement une hauteur lĂ©gĂšrement supĂ©rieure Ă  cette seconde feuille, environ 10 mĂštres. La largeur est Ă©galement gĂ©nĂ©ralement d'environ 10 mĂštres. Un mur de rebond situĂ© parallĂšlement Ă  l'avant Ă  une distance qui dĂ©limite la longueur du court. Ce mur a gĂ©nĂ©ralement une hauteur infĂ©rieure, environ 5 ou 6 mĂštres. Un mur de gauche qui relie le front au mur de rebond, oĂč il est valide que la balle soit frappĂ©e pendant le match. C'est aussi une hauteur sous le front, environ 5 ou 6 mĂštres. Cependant, Ă  partir de lĂ , les rochets prĂ©sentent des diffĂ©rences notables par rapport aux terrains de baseball restants: il existe un mur droit qui relie le front et le mur anti-rebond qui ferme complĂštement le terrain (d’oĂč le nom qui dĂ©signe gĂ©nĂ©ralement les rochets fermĂ©s. ), dĂ©limitĂ© par quatre murs. Il est lĂ©gal que la balle frappe le mur pendant le match, comme c'est gĂ©nĂ©ralement le cas avec le mur gauche. Actuellement, les murs de droite sont gĂ©nĂ©ralement faits de matĂ©riaux translucides pour permettre le suivi des allumettes depuis le contre-terrain. La façade est reliĂ©e au mur droit par un plan inclinĂ© vertical (un chanfrein), appelĂ© friar en Espagne et drum or tambur en Argentine et Ă©galement en Uruguay, Ă©galement valable pour le jeu et prĂ©sentant les caractĂ©ristiques suivantes: modifier la trajectoire de la balle. Le frĂšre est considĂ©rĂ© comme faisant partie du front, c’est-Ă -dire que si un joueur retourne la balle au frĂšre, c’est considĂ©rĂ© comme un bon retour, bien que la balle frappe alors sous la plaque ou n’atteigne pas le front. Le long du mur de gauche, de l'avant au mur anti-rebond, s'Ă©tend un toit en pente totalement valable pour le jeu. Le bateau sur le toit n’est pas considĂ©rĂ© comme un bateau valide, c’est-Ă -dire que la balle peut ĂȘtre renvoyĂ©e mĂȘme si elle rebondit ou roule sur le toit. Sous le toit, il y a gĂ©nĂ©ralement une galerie oĂč sont logĂ©s les spectateurs. Sous le toit, dans le plan vertical, il y a un filet ou une grille de mĂ©tal ou de bois, appelĂ©e sare ou xare. Si un des joueurs parvient Ă  lancer la balle dans le filet aprĂšs avoir rebondi sur le terrain, il en reçoit beaucoup. Le long du mur anti-rebond, entre les murs gauche et droit, se trouve Ă©galement un autre toit avec un plan inclinĂ©. La boĂźte ou xilo. C'est un trou situĂ© sur le cĂŽtĂ© droit du front, Ă  40 centimĂštres au-dessus de la feuille infĂ©rieure du front. Dans sa partie externe, il est plus large que dans son intĂ©rieur, rendant imprĂ©visible le sens de la sortie du ballon. Traditionnellement de longueur similaire au fronton court (environ 30 m), les courts homologuĂ©s pour les compĂ©titions internationales ont une longueur lĂ©gĂšrement plus courte (28,50 m). L’existence du toit et la longueur rĂ©duite du terrain font que la balle atteint plus de rebond que dans les mĂȘmes spĂ©cialitĂ©s jouĂ©es avec un fronton court. Dans les rochets, ils pratiquent gĂ©nĂ©ralement les mĂȘmes spĂ©cialitĂ©s que dans le fronton, c’est-Ă -dire qu’ils jouent gĂ©nĂ©ralement avec les mĂȘmes outils, mais l’existence de ces Ă©lĂ©ments de la cour: toit, mur droit, filet, tambour, caisse, etc. ils participent en tant qu'Ă©lĂ©ments indirects au jeu, ils font que les mĂȘmes spĂ©cialitĂ©s ont une conception du jeu diffĂ©rente de celle du cliquet Ă  celle des autres courts. SpĂ©cialitĂ©s du mode Ă  cliquet [edit] In t


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CLASSEMENT DU FORMATEUR

Un chalutier est, Ă  l’origine, un bateau typique de la cĂŽte espagnole de la Cantabrie, entraĂźnĂ© par l’aviron et parfois la voile, autrefois dĂ©diĂ© Ă  la pĂȘche, mais aujourd’hui, avec de lĂ©gĂšres modifications, consacrĂ© au sport de la rĂ©gate Ă  l’aviron. Avec ses lignes fines, son arc surĂ©levĂ© et sa poupe arrondie, il a trĂšs bien rĂ©sistĂ© aux vagues de la mer Cantabrique. Son nom dĂ©rive du mot "traine" ou "traíña", rĂ©seau maillĂ© trĂšs dense utilisĂ© pour les captures, notamment d'anchois et de sardine. Index [cacher] 1 CaractĂ©ristiques 2 Courses en vedette 3 RĂ©fĂ©rences 4 Voir aussi 5 Liens externes CaractĂ©ristiques [modifier] Les chalutiers sont un exemple clair de la façon dont l'utilisation d'un instrument de travail disparaĂźt avec le temps, menant Ă  la concurrence devenir un bateau de sport Ă  rames Ă  rangĂ©e fixe, soumis Ă  des rĂšgles strictes en matiĂšre de poids, de dimensions, etc. Le processus de fabrication prend au moins un mois ou un mois et demi. Un dessin Ă  l’échelle du bateau est rĂ©alisĂ© sur la base de mesures standard de 12 m de long, de 95 cm Ă  l’avant, de 75 cm Ă  l’arriĂšre et de 60,5 cm de large. Le poids total du bateau, y compris le tolet, le banc et le tolĂ©rant, doit ĂȘtre de 200 kg. Le matĂ©riau utilisĂ© pendant des annĂ©es Ă©tait le bois dans son ensemble, de cĂšdre et de hĂȘtre. Actuellement, le matĂ©riau utilisĂ© est la fibre de carbone et le kevlar pour la construction de bateaux utilisant des techniques aĂ©ronautiques similaires Ă  celles utilisĂ©es pour la construction du fuselage de l’avion Airbus 380.1.Le bateau est monobloc et offre une plus grande rĂ©sistance qu’auparavant. La vie d’un bateau dans un club important est gĂ©nĂ©ralement de deux ou trois ans. Un chalutier, en 2008, avait un prix approximatif de 25 000 euros.1 Les rames, comme les bateaux, Ă©taient en bois, bien que les chalutiers aient Ă©voluĂ© vers la fibre de carbone. Actuellement, l’équipage d’un chalutier est composĂ© de 13 rameurs et d’un skipper. Les rameurs sont rĂ©partis sur six rangĂ©es de 2 rameurs plus le rameur avant, qui ne va que sur son banc prĂ©cĂ©dent. Sur chaque banc, sauf Ă  l'avant, un rameur pagaie par bĂąbord et un autre par tribord, le rendant "sur le dos", c'est-Ă -dire qu'il regarde vers l'arriĂšre. Le skipper, qui se tient gĂ©nĂ©ralement Ă  l’arriĂšre, regarde vers l’avant, est celui qui dirige le bateau avec la barre. Seuls les reprĂ©sentants de l’ensemble de la cĂŽte nord de la Cantabrie participent aux rĂ©gates: Galice, PrincipautĂ© des Asturies, Cantabrie, Pays basque et Pays basque français; Outre le prix en espĂšces correspondant Ă  chaque rĂ©gate, le club vainqueur se voit traditionnellement attribuer un drapeau de la localitĂ© qui accueille la compĂ©tition ou de son sponsor. Courses en vedette [modifier] Actuellement, le calendrier est composĂ© de: "Descentes" (gĂ©nĂ©ralement une riviĂšre ou une riviĂšre), au dĂ©but de la saison. À partir de juin, les courses qui ne font pas partie des ligues commencent. Les rĂ©gates des ligues (Ligue San Miguel-ACT, Ligue ARC et Ligue LNT) en juillet et aoĂ»t. Les championnats rĂ©gionaux et le championnat d'Espagne des entraĂźneurs. Parmi eux, les trois plus anciens du calendrier se dĂ©marquent: Drapeau de Santander, Grand Prix du NerviĂłn et Drapeau de La Concha. En raison de leur emplacement (les trois capitales de province, Santander, Bilbao et San SebastiĂĄn), ces trois courses ont toujours Ă©tĂ© les meilleures et les plus cĂ©lĂšbres. Dans les Asturies et en Galice, les rĂ©gates les plus importantes sont le drapeau du prince des Asturies Ă  Castropol, le drapeau du Conde de Fenosa et le drapeau de Teresa Herrera Ă  La Corogne. Auparavant, dans les 36 annĂ©es entre 1941 et 1976, la Coupe de SE Le Generalissime Ă©tait jouĂ©e Ă  La Corogne.

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PELOTE BASQUE

Le ballon basque (en basque: pilote) est un sport universel pratiquĂ© de maniĂšre traditionnelle au Pays basque et qui a permis de sauver la contribution d’autres civilisations. Le plus grand mĂ©rite des Basques a Ă©tĂ© l'adaptation du jeu Ă  leurs caractĂ©ristiques propres, apportant de nombreuses modifications, crĂ©ant de nouvelles modalitĂ©s, installations et matĂ©riels de jeu.1 Les premiers documents faisant rĂ©fĂ©rence au jeu sont des textes français du XIIIe siĂšcle qui placent son origine en France, mentionnant deux variantes du jeu: la paume courte ou la paume courte, pratiquĂ©e par la noblesse et le clergĂ©, et la paume longue ou la paume longue, pratiquĂ©e par la population dans des espaces ouverts. [citation requise] L'Espagne et la France, bien qu'il existe Ă©galement des fĂ©dĂ©rations de bal basque en Argentine, Bolivie, BrĂ©sil, Canada, Chili, Costa Rica, Cuba, Équateur, El Salvador, États-Unis, Philippines, GrĂšce, Guatemala, Hollande, Inde, Italie, Mexique et Paraguay , PĂ©rou, Porto Rico, RĂ©publique dominicaine, SuĂšde, Uruguay et Venezuela.2 En raison de l’origine du jeu, de nombreux bons joueurs sont basques. L'athlĂšte qui pratique ce sport est appelĂ© "pelotari" .3 NĂ©cessite gĂ©nĂ©ralement la participation d'au moins deux joueurs ou deux Ă©quipes qui frappent gĂ©nĂ©ralement une balle Ă  tour de rĂŽle contre un mur appelĂ© "frontis", jusqu'Ă  ce que . Le terrain dans lequel il se joue s'appelle fronton, il existe une variante appelĂ©e cliquet, qui est un terrain fermĂ© avec un toit latĂ©ral. La FĂ©dĂ©ration Internationale de Ballon Basque (FIPV) reconnaĂźt 4 modalitĂ©s avec un total de 14 spĂ©cialitĂ©s officielles. Les femmes participent Ă  deux d’entre elles.4 Le type de terrain oĂč le jeu est jouĂ© est considĂ©rĂ© comme une modalitĂ©, et ce qui se pratique dans ce domaine.4 Les modalitĂ©s et spĂ©cialitĂ©s officielles sont les suivantes: Dans un rochet, une pagaie en caoutchouc est jouĂ©e (hommes et femmes). femmes), pagayer avec une balle en cuir, Ă  la main (individuel et par deux) et xare (ou partager). Dans un fronton de 36 mĂštres (Ă©galement appelĂ© fronton ou mur gauche), on joue une pelle courte, une pagaie avec un ballon en cuir et Ă  la main (individuel et Ă  deux) et une pagaie en caoutchouc solide. Dans un fronton de 30 m, on joue au frontenis (hommes et femmes) ) et pagaie avec une balle en caoutchouc. Dans le fronton de 54 mĂštres (Ă©galement appelĂ© fronton long ou Jai Alai), un panier de pourboires est jouĂ©. Outre les modalitĂ©s et spĂ©cialitĂ©s reconnues par la FĂ©dĂ©ration internationale, il existe d’autres modalitĂ©s et spĂ©cialitĂ©s pratiquĂ©es localement. Index [masquer] 1 Histoire 2 ModalitĂ©s de la balle basque 2.1 Fronton court de 30 mĂštres 2.2 Fronton court de 36 mĂštres 2.3 Fronton de 54 mĂštres ou Jai Alai 2.4 Ratchet 3 SpĂ©cialitĂ©s de balle basque 3.1 Balle Ă  la main 3.2 Raquette en caoutchouc plein 3.3 Balle Ă  pagaie 3.4 Panier Astuce 3.5 Frontenis 3.6 Sare 3.7 Autres 4 SchĂ©ma d’un fronton 5 Championnats du monde de balle basque 5.1 Classement des mĂ©dailles 6 Histoire des Jeux Olympiques 7 Balles en vedette 8 Diffusion de jeux Ă  la tĂ©lĂ©vision 9 Balles dans la fiction fiction 10 Balles dans le cinĂ©ma 10.1 Films de fiction 10.2 Documentaires 10.3 Le ballon basque dans la littĂ©rature 11 Voir aussi 12 RĂ©fĂ©rences 13 Liens externes Histoire [modifier] Tout au long de l’histoire du monde, de nombreuses civilisations ont pratiquĂ© diffĂ©rents jeux de ballon. Ils avaient l'habitude de s'affronter individuellement, dĂ©veloppant le jeu dans des prairies bien dĂ©limitĂ©es; le jeu a permis distraction et dĂ©fi personnel. Le ballon est donc un jeu universel. les formes les plus codifiĂ©es du jeu se trouvaient en AmĂ©rique du Sud, au Moyen-Orient ou en Europe occidentale. Le Jeu de Paume, le jeu du tambour, celui du tamis, sont des manifestations vivantes des anciens jeux de ballon et le ballon basque et le tennis sont des legs directs de ces jeux1. L'avancĂ©e de l'empire romain a amenĂ© le jeu appelĂ© territoire français batterie Son Ă©volution ultĂ©rieure proviendrait du Jeu de Paume. Ce jeu, pratiquĂ© dans les prĂ©s et sur les places des villages, a gardĂ© son nom de paume (palmier) malgrĂ© l’utilisation progressive de divers outils de frappe. Les bourgeois et les aristocrates utilisaient des gants et des raquettes.1 Au XIIe siĂšcle, progressivement, les documents qui soutiennent l'expansion du jeu de balle augmentent. Au Moyen Âge, il est clair que le palais, la noblesse et les rois avaient leurs soi-disant rochets. La France est le pionnier du jeu de balle en ce qui concerne la similitude possible avec l’époque actuelle, y compris deux modalitĂ©s: "la longue paume" et la "courte paume" .1 Aux XIIe et XIVe siĂšcles, le jeu de "paume" Il est rĂ©pandu dans toute la France. A. de Luze, Ă©tudiant en Ă©volution balistique, raconte en 1933 l’existence de plus de 300 "tripots" ou jeux de balle au cours des pĂ©riodes allant de